Guide de KINSHASA : Pourboires, marchandage et taxes

La TVA est entrée en vigueur récemment, ce qui a provoqué une augmentation des prix, surtout en ville, principalement répercutée au sein des hôtels et restaurants.

Considérez de manière générale qu'un pourboire est dû lorsqu'un service, quel qu'il soit, vous a été rendu et vous a été utile. Pensez pour ce faire à prévoir des petites coupures.

Où que ce soit dans le pays, il est d'usage de laisser un pourboire aux serveurs (entre 10 et 15 % de la note) ; ainsi qu'un petit billet (1 000 ou 2 000 FC) à la sentinelle qui surveille votre véhicule.

Vu le niveau bas des salaires au sein de la population - dont seul un faible pourcentage est actif - un petit matabish est souvent apprécié à sa juste valeur, tout en étant attentif à ne pas encourager la subordination et la mendicité, et à ne pas non plus froisser votre interlocuteur. Raison de plus pour le faire discrètement quand cela se justifie.

Le Congo et particulièrement Kinshasa comptent malheureusement de nombreux indigents et laissés-pour-compte (enfants des rues, infirmes, vieillards, aveugles...) réduits à faire la manche pour survivre, plus ou moins insistants selon les cas, et auxquels on n'échappe pas... Ames sensibles, s'abstenir.

Quant au marchandage, c'est en permanence et en toutes circonstances (hors établissements à l'occidentale). Ça fait partie du jeu, et de la société congolaise. Inutile de préciser qu'en tant que "mundele" (blanc), il vous faudra négocier pour faire baisser les prix jusqu'à 50 %, voire plus selon les cas (marché, artisanat...). Mais cela se fait le plus souvent dans la bonne humeur. Le mot d'ordre : rester zen et courtois.

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