Restaurant proposant une carte de pizzas à emporter et une cuisine de terroir
Cette auberge située dans le centre du village propose une cuisine de terroir, inspirée des recettes de nos aïeuls. C'est ainsi qu'on déguste à cette table l'incontournable aligot et sa saucisse locale Maison Conquet, des farçous, terrines et assiette de charcuterie, la truite bio des monts d'Aubrac, la tartine laguiolaise, ainsi qu'une succulente sélection de pièces de boeuf : entrecôte, contre-filet, bavette, tournedos et pavé de rumsteck. N'oubliez pas de goûter salades ou aux desserts maison : tartes, salades de fruits, café ou thé gourmand...
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur L' AUBERGE DU TAUREAU
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :

Le restaurant semble en grande difficulté…
Hélas les propriétaires changent mais le nom de l’établissement demeure …
Oubliez ce que vous saviez sur ce restaurant qui, hier encore, était réputé pour sa cuisine et son service, comme l’incontournable du village : les nouveaux occupants sont de ceux qui se trompent quand ils pensent que la restauration est un métier que l’on peut prendre à la légère ; la paire d’heure passée à attendre qu’on vous serve est un fiasco propre à éteindre la méfiance que vous devriez avoir pour le second désastre : le contenu des assiettes. Au menu, à en juger par l'aspect des platrées qui ornent les tables que n'ont pas désertés les rares clients chez qui l'impatience ne l'a pas emporté sur la faim : escargots rachitiques présentés dans des ramequins à crème catalane, des cuisses de grenouilles partiellement décongelées qui baignent dans la transparence d’un bol de cantine, la pâleur blanchâtre d’une vinaigrette industrielle posée sur une salade fluo, qui s’accorde a merveille avec le teint farineux d’un aligot indigne et réchauffé. Ces accompagnements vous seront servis, pour peu que vous attendiez le petit matin, a coté de viandes surcuites que même un authentique couteau de Laguiole aurait bien du mal à entamer. En bref : la prouesse qui consiste, chez le nouveau gérant de l’auberge du taureau, à suer abondamment en courant en tous sens sans sortir une seule assiette, vous préserve de ce qu’il pourrait vous arriver de pire : être servi.
Changement de propriétaire depuis novembre 2024. Un fiasco de A à Z, 1h45 d'attente pour avoir une entrée qui n'est finalement jamais arrivée. Les quelques plats servis aux autres clients n'étaient tout simplement pas bons (magret de canard cramé, salade industrielle, aligot mousseline...)
Visiblement les repreneurs ne sont pas du métier, dommage pour un restaurant dont la réputation n'était plus à faire...