VIIIe siècle av. J.-C.

Apparitions des premières traces de la civilisation étrusque. À son apogée (VIe siècle av. J.-C.), le territoire antique de l’Étrurie correspond en grande partie à la Toscane actuelle. Il est communément admis que c’est à partir des Étrusques que l’Italie prend réellement naissance. Ils s’installent à Rome pendant un siècle et la transforment en véritable ville. Mais quand leur puissance décline, les Romains les chassent. L’Étrurie sera l’une des premières conquêtes de Rome et disparaîtra en 264 av. J.-C.

59 av. J.-C.

Une colonie romaine est établie par Jules César à Florentia, l’actuelle Florence. Sa situation géographique avantageuse, sur les bords de l’Arno et sur la via Cassia qui reliait Rome au nord de l’Italie, lui permet de prospérer rapidement. Le Forum se trouvait à l’emplacement de la Piazza della Repubblica et la ville abritait 10 000 habitants au IIe siècle.

03_Jules César © Jean-Léon Gérôme - Wikimedia Commons .jpg

VIe siècle

La chute de l’Empire romain consommée à la fin du Ve siècle, l’Italie connaît une grande instabilité politique. La Toscane est dominée par les Ostrogoths puis les Byzantins avant de passer sous le contrôle des Lombards en 569 : la région devient alors le Duché de Tuscia et a pour capitale Lucca. La ville le restera pendant deux siècles.

774

Allié à la papauté, Charlemagne met fin au règne des Lombards. La Toscane est rattachée à l’Empire carolingien.

1075

En interdisant aux laïcs de conférer des évêchés, le fameux pape Grégoire VII déclenche la non moins fameuse querelle des Investitures qui l’oppose à l’empereur germanique Henri IV, humilié à Canossa en 1077. Le duché de Toscane est de nouveau indépendant et Florence en devient la capitale.

1082

Le Chianti, région qui se situe entre Florence et Sienne, devient un objet de convoitise et de conflit entre les deux cités. Les affrontements pour déterminer qui exercera le contrôle sur cette région prospère dureront près de quatre siècles.

1115

Les communes libres

La comtesse Mathilde meurt à Mantoue et lègue la Toscane à la papauté. Au même moment, un mouvement communal est en train de naître : Lucques devient la première commune d’Italie et Florence devient une cité-Etat régie par une assemblée. La démocratie participative dans ses premières formes émerge, ainsi que les associations d’arts et métiers. La Toscane, aux yeux du monde, est une réussite d’autonomie culturelle, sociale et économique.

1235

Les premiers florins sont frappés, d’abord en argent, puis en or à partir de 1252. La monnaie florentine, le « dollar du Moyen Âge », devient alors un point de référence en Europe, témoignant au passage du premier rayonnement de la ville sur la péninsule.

1240

Guelfes et gibelins

Un climat de guerre civile règne dans chaque cité toscane et entre cités elles-mêmes. Partisans de la papauté, appelés guelfes, et partisans de l’empereur, dits gibelins, se livrent une lutte inexpiable. Florence est dominée par les guelfes, Lucques et Pise sont aux mains des gibelins.

1260

Bataille de Montaperti remportée par les Siennois contre les Florentins. Cette victoire de Sienne marque un coup d’arrêt brutal à la phase d’expansion spectaculaire de la commune florentine depuis que les guelfes sont au pouvoir.

1306-1321

Le Florentin Dante Alighieri écrit La Divine comédie, premier poème rédigé en dialecte toscan, et non en latin.

1340

Importante crise économique à Florence due à la faillite des familles Peruzzi et Bardi.

1348

Terrible épidémie de peste noire qui ravage la Toscane et anéantit la moitié de la population de Sienne et de Florence.

1406

Après quatre ans de résistance, Pise la fière est vaincue par Florence qui obtient enfin un débouché sur la mer. Seules les puissantes républiques de Sienne et de Lucques résistent à la « cité du lys ».

1434

Une famille de riches et habiles banquiers florentins, les Médicis, parvient au pouvoir, se substituant au gouvernement communal. Sous le règne de Laurent de Médicis, entre 1469 et 1492, la république de Florence se transforme en une grande place financière européenne, voire la plus grande.

1452

Naissance à Florence de Léonard de Vinci.

1454

Naissance à Florence d’Amerigo Vespucci.

Amerigo Vespucci (1454-1512)

Navigateur florentin, Vespucci entre tout d’abord au service des Médicis. Responsable de leur succursale bancaire à Lisbonne, il ressent, là, l’appel du large. Pour le compte du roi du Portugal, puis celui d’Espagne, il se lance dans l’aventure de la découverte maritime. Entre 1499 et 1504, plusieurs expéditions l’amènent sur les côtes de l’Amérique du Sud. C’est à lui que revient pour la première fois de franchir l’équateur et de croiser l’embouchure de l’Amazone. Les résultats de ses voyages ont en son temps pour effet de battre en brèche les connaissances et croyances établies depuis des siècles. C’est à l’Allemand Waldseemüller que revient la paternité de l’utilisation du prénom de Vespucci pour nommer les nouvelles terres que ce dernier avait découvertes. Son épouse Simonetta fut l’égérie de nombreux peintres. On retrouve la beauté de ses traits dans certaines œuvres de Botticelli et dans un somptueux portrait de Piero di Cosimo.

Amerigo Vespucci © Morphart Creation - Shutterstock.com.jpg

1475

Naissance à Caprese, au nord d’Arezzo, de Michelangelo.

1494

Le nord de la péninsule voit surgir les armées du roi de France, Charles VIII, accueilli favorablement à Florence où il renverse les Médicis avec l’aide de leurs opposants.

1498

Savonarole, qui a sévèrement dénoncé les mœurs délétères de la Renaissance et de la Florence des Médicis, est pendu et brûlé sur le bûcher de la Piazza della Signoria, à l’emplacement même où le moine prédicateur avait fait brûler, en 1497, les vers de Pétrarque et les nus féminins de Botticelli.

Jérôme Savonarole (1452-1498)

Moine dominicain, prieur du couvent San Marco de Florence, Savonarole vouait un culte exalté à la pureté et au dénuement. Il voyait l’Antéchrist dans le néoplatonisme de la cour de Laurent le Magnifique, fit plusieurs prédications enflammées sur les risques que prenait le peuple florentin, et sur l’approche de l’Apocalypse. Personnage charismatique, il eut beaucoup d’émules (dont le frère de Botticelli) et divisa les opinions. Lorsque Florence se retrouva sans gouvernement après l’invasion française, il instaura grâce à l’aide de ses partisans un régime théocratique, supprimant toutes les fêtes non religieuses, forçant chacun à brûler tous les biens qui pouvaient mettre en danger son âme sur le « bûcher des vanités ». Ses ennemis redoublèrent en nombre lorsqu’il dirigea ses attaques contre le pape. Excommunié, il fut traqué dans son couvent, condamné à mort, pendu puis brûlé. Une plaque commémorative rappelle sa triste fin sur la place de la Seigneurie.

Jérôme Savoranole © Mi.Ti. - Shutterstock.com .jpg

1537

Les Médicis retrouvent les commandes de la république florentine. Élu duc de Florence à 18 ans, Cosme Ier devient ensuite en 1569 le premier grand-duc de Toscane jusqu’à son décès. Florence lui doit de nombreux embellissements, notamment la création de la Galerie des Offices et le jardin de Boboli.

1555

Après deux ans de guerre et un siège meurtrier, les troupes de Cosme Ier s’emparent de Sienne, la rivale séculaire de Florence, qui contrôle à présent toute la Toscane. C’est le début d’une longue période florissante pour la cité florentine, qui devient le foyer culturel le plus emblématique de l’humanisme et de la Renaissance.

1737

François de Lorraine et son épouse, Marie-Thérèse d’Autriche, héritière des Habsbourg, mettent fin à la dynastie des Médicis. À la mort de son père, Léopold Ier devient le nouveau grand-duc de Toscane et s’installe à Florence en 1765. Acquis aux idées des Lumières qui se répandent alors en Europe, il relance notamment l’agriculture et met fin aux taxes douanières.

30 novembre 1786

Le grand-duché de Toscane décide d'abolir la peine de mort. A l'initiative de Léopold Ier, la Toscane est alors le premier État du monde à mettre fin à la peine capitale. La torture est également bannie.

1801

Après les bouleversements européens de la fin du XVIIIe siècle et la prise de pouvoir de Napoléon Bonaparte, le grand-duché de Toscane est annexé à l’Empire français, jusqu’à la chute de l’empereur en 1814. La Toscane a alors pour nom « royaume d’Étrurie » en souvenir de son passé étrusque. Malgré certaines exactions inévitables en temps de guerre, les Italiens découvrent pour la première fois de leur histoire la liberté sous presque tous ses aspects.

1814-1815

Exil de Napoléon sur l’île d’Elbe.

1815

Le congrès de Vienne marque la fin des guerres napoléoniennes et le retour de régimes plus ou moins despotiques. La répression autrichienne s’abat sur les Italiens, aucunement consultés lors du redécoupage de leur péninsule. Cette frustration marque la naissance d’une prise de conscience nationale, relayée par des mouvements qui s’exprimeront à travers l’action de sociétés secrètes, les fameux carbonari. L’idée d’une unité nationale fait son chemin…

1860

La Toscane intègre le Royaume unifié d’Italie. En 1865, Florence devient alors la capitale de la nation naissante, avec Victor-Emmanuel II pour roi. Rome, étant toujours occupée par le pape et les forces françaises chargées de le protéger, ne peut être choisie pour accueillir le trône. Ce n’est qu’en 1870, à la suite du retrait des troupes françaises – guerre franco-prussienne oblige –, que Rome est enfin associée au reste de la nation et en devient même la capitale.

Victor-Emmanuel II (1820-1878)

Nombre d'artères portent le nom de celui qui fut le premier roi d’Italie après l’unification des régions, de 1861 jusqu’à sa mort. Surnommé « Père de la patrie » ou « Roi gentilhomme », il fut également duc de Savoie, prince du Piémont et roi de Sardaigne de 1849 à 1861. Fils de Charles-Albert et de la reine Thérèse, fille du grand-duc de Toscane Ferdinand, le roi mène une politique modérée, en tempérant l’ardeur des partisans de Giuseppe Garibaldi et en tentant d’apaiser les conflits avec le Saint-Siège, tout en poursuivant l’œuvre économique de son Premier ministre, le comte de Cavour.

Accueil de Victor Emmanuel II à Florence par le gonfalonière. Dessin de Lhernault, d'après un croquis de Sanesi publié dans le journal L'illustration en 1860 © Marzolino - Shutterstock.com.jpg

Début du XXe siècle

L’unité réalisée, l’Italie prend conscience de son retard économique à l’échelle de l’Europe. En 1892, par exemple, pratiquement la moitié de la population florentine vit dans la pauvreté. Mais au début du XXe siècle, la Toscane connaît un essor démographique considérable, accompagné d’une urbanisation intense ; ce furent des années tourmentées de la « question sociale », des revendications ouvrières et de la naissance du fascisme.

1915-1918

Après être restée dix mois en marge de la Première Guerre mondiale, l’Italie rompt sa neutralité et se décide le 24 mai 1915 à déclarer la guerre aux côtés des Alliés à l’Autriche-Hongrie, empire auquel elle était pourtant liée depuis 1882 par le Traité de la Triplice, ainsi qu’à l’Allemagne, autre ancienne alliée. La victoire est amère, les pertes sont lourdes.

1921

En novembre 1921, Benito Mussolini crée le parti national fasciste. Il entame avec ses chemises noires la fameuse Marche sur Rome.

1940-1943

Bien qu’alliée à l’Allemagne, l’Italie attend juin 1940 pour déclarer la guerre à la Grande-Bretagne et à la France. Mal préparée, l’armée italienne va de défaite en défaite et capitule en 1943.

1943-1945

La résistance italienne rejoint les forces alliées. La Toscane est libérée en 1944, mais la défense allemande est lourde de conséquences, notamment à Florence : dégâts importants des vieux quartiers datant du Moyen Âge minés par les Allemands, ainsi que la destruction de tous les ponts (à l’exception du Ponte Vecchio).

1946

La paix revenue, le Comité de libération nationale placé à la tête du gouvernement organise un référendum dont le résultat condamne la monarchie en faveur d’une république (71,6 % en Toscane). Humbert II, monté sur le trône après l’abdication de son père Victor-Emmanuel III, préfère s’exiler.

Années 1950-1960

Après l’adoption d’une nouvelle constitution, entérinée en 1948, la vie politique est principalement marquée par la lutte pour le pouvoir entre des partis issus de la résistance. Suite à l’entrée du pays dans le pacte de l’OTAN, puis dans le projet de la Communauté européenne, les années qui suivent l’après-guerre sont caractérisées par le développement et le succès de l’économie italienne. La Toscane entreprend un mouvement de reconstruction suivi d’une croissance industrielle rapide. Florence relance son industrie textile et devient la capitale italienne de la mode.

1966

Crue de l’Arno à Florence : des dizaines de personnes périssent dans les inondations et le bilan des œuvres d’art et de manuscrits détruits par l’eau et la boue est catastrophique.

Années 1970

Particulièrement agitées et difficiles, les « années de plomb », ainsi surnommées par les médias, commencent avec l’autunno caldo (automne chaud) de 1969 durant lequel grèves, manifestations et émeutes se succèdent. L’Italie doit faire face à un activisme violent et incontrôlable, auquel prennent part les Brigades rouges d’un côté (qui assassinent le maire de Florence en 1986, Lando Conti) et des groupuscules d’extrême-droite de l’autre, dont certains bénéficient de l’appui de puissants (on parle même d’un rôle joué par la CIA dans la « stratégie de la tension »). L’Italie est au bord de la désintégration. Cette confusion sociale et politique trouve son point culminant avec l’assassinat du Premier ministre, Aldo Moro, en 1978.

Début des années 1990

L’Italie découvre l’ampleur de la mainmise de la mafia. L’opération Mani Pulite (mains propres) est mise en place pour assainir la vie politique et publique du pays. Malgré plusieurs attentats (dont celui contre la Galerie des Offices qui tue cinq personnes en juin 1993) et beaucoup de violence meurtrière (notamment l’assassinat des juges Falcone et Borsellino), les scandales éclatent, les actions frauduleuses des politiciens sont révélées, et la valse des ministres recommence. En 40 ans, 48 gouvernements se sont succédé à la tête du pays...

27 mars 1995

Maurizio Gucci, l’héritier de la célèbre maison de mode florentine griffée du double G, est assassiné en plein cœur de Milan. Son ex-épouse, surnommée la « veuve noire », est condamnée à 26 ans de prison pour avoir commandité le meurtre.

1998

Roberto Benigni, né le 27 octobre 1952 à Castiglion Fiorentino en Toscane, remporte l’Oscar du meilleur acteur pour son film La Vie est belle.

02_Roberto benigni, palme d'or à Cannes pour son film La vie est belle © Featureflash Photo Agency - Shutterstock.com .jpg

2005

Aux élections régionales, Claudio Martini, le président de centre-gauche, décroche haut la main son second mandat, confirmant le statut de la Toscane comme bastion de la gauche.

2008

L’insubmersible Silvio Berlusconi et ses alliés de droite remportent les élections nationales après la chute du gouvernement de Romano Prodi. Au passage, le soutien traditionnel de la Toscane aux candidats de gauche se dilue. À 71 ans, Berlusconi devient pour la troisième fois président du Conseil. Mais l’édifice « Silvio » commence à se fissurer : les scandales se succèdent et culminent avec une affaire de mœurs impliquant une mineure, l’affaire « Ruby gate », alors que la Cour constitutionnelle annule la loi le protégeant de toute poursuite pendant son mandat.

2011

150e anniversaire de l’unification italienne. En novembre, suite à la démission de Berlusconi, l’économiste Mario Monti devient président du Conseil. Malgré le plan d’austérité et les manifestations contre sa politique de rigueur pour contrer la crise économique, Monti parvient à maintenir le cap. « Super Mario », comme le surnomment les journalistes, lance une réforme des retraites, met en place une politique de lutte contre l’évasion fiscale et demande à l’Église de payer une taxe foncière.

Novembre 2013

Le Cavaliere Berlusconi est déchu de son mandat de sénateur et déclaré inéligible pendant six ans.

22 février 2014

Matteo Renzi, maire de Florence depuis 2009, devient le plus jeune Premier ministre de l’histoire de l’Italie. Incisif, il engage des réformes attendues (baisse des impôts des ménages les plus modestes, nouvelle loi électorale, promotion des femmes à la tête des grands groupes publics italiens...).

Mars 2016

La mairie de Florence signe un arrêté imposant 70 % de produits locaux dans les restaurants de la ville.

Décembre 2016

À presque 60 %, les Italiens rejettent par référendum la réforme portée par Renzi qui visait à réduire le pouvoir du Sénat et des régions, dans la foulée il annonce sa démission, après avoir passé mille jours à la tête du pays.

2017

Mesures de sécurité antiterroristes mises en place à Florence et installation de détecteurs de métaux à l’entrée des principaux musées.

4 mars 2018

Élections législatives : victoire des forces anti-européennes. A partir de juin 2018, l’Italie dispose d’un nouveau gouvernement placé sous la houlette de Giuseppe Conte et issu de la coalition inédite entre deux partis antisystème, le Mouvement 5 Étoiles et la Ligue.

Février 2019

Ouverture d’une nouvelle ligne de tramway à Florence : la T2 qui relie l’aéroport au centre-ville.

12 juillet 2019

Inauguration de la place Salvatore Ferragamo, près du Ponte Vecchio, en hommage au célèbre chausseur florentin.

Mars 2020

L'Italie se confine face à la pandémie de Covid-19. Dès fin février, le pays est le plus durement touché de l'Union européenne.

Pour l'anecdote, les mesures de distanciation sociale ont vu la réouverture des fenêtres à vin à Florence, des petites ouvertures créées au XVIe siècle pour permettre la vente de vin, utilisées notamment lors des épidémies de peste.

12 février 2021

Mario Draghi, ancien gouverneur de la BCE, est nommé Premier ministre de l'Italie.

25 septembre 2022

Après la démission de Mario Draghi, des élections législatives anticipées sont marquées par la victoire de Giorgia Meloni, et de son parti d'extrême droite, Fratelli d'Italia. La Toscane, traditionnel bastion de gauche, a majoritairement voté pour le Parti Démocrate (PD) de l’ancien Premier ministre Enrico Letta.

2023

Le tourisme italien renoue avec les niveaux de 2019, soit avant la pandémie, avec des chiffres records : 445,3 millions de présences ont été enregistrées, ce qui représente une augmentation de 8 % par rapport à 2022.

27 mai 2024

Réouverture annoncée (et attendue !) du Corridor Vasari à Florence, fermé depuis 2016 pour d'importants travaux de restauration. Prouesse architecturale, ce couloir, voulu par les Médicis, part du palais Vecchio, traverse les Offices, enjambe l’Arno sur le Ponte Vecchio et serpente dans l’Oltrarno avant d’arriver au palais Pitti.

29 juin 2024

Pour sa 111e édition, le Tour de France partira d'Italie en 2024 pour la première fois de son histoire, et plus précisément de Florence !