COLLÈGE DES DOCTRINAIRES * * * *
44 chambres de grand confort directement connectées aux thermes via un tunnel.
L'ancien lycée de la ville a été converti en hôtel-résidence de luxe destiné aussi bien aux curistes qu'aux touristes de passage. Il est relié aux thermes, parfait pour une escapade bien-être. L'hôtel a ouvert ses portes en 2019 et l'architecte Sébastien Desroches a veillé à préserver l'esprit des lieux de cette bâtisse du XVIIe siècle. Les 44 chambres-appartements, décorées de façon raffinée, offrent des prestations exclusives et surtout beaucoup d'espace.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Avis des membres sur COLLÈGE DES DOCTRINAIRES
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :

Nous avions réservés un brunch d’une valeur de 29 euros à l’occasion du dimanche de Pâques !
Premièrement, 45 minutes de retard, pour se faire pardonner la direction nous offre une boisson, ce que nous apprécions.
En entrant dans la salle de petit-déjeuner, nous tombons sur un buffet digne d’un établissement bas de gamme !
Une machine à café/chocolat/thé que l’on pourrait retrouver sur une aire d’autoroute (même marque), beurre président, viennoiseries de la veille, une proposition de plats tellement hétéroclite que l’on ne s’y retrouve plus : samoussas / sushis / fois gras / terrines avocat saumon / saucisses / pommes de terre / 4 pauvres quiches entourées de plastique (alors que nous étions 14) aucune harmonie, mais surtout une myriade de propositions fades et sans saveurs, aucune allusion à Pâques alors que finalement ce fut l’occasion !
Trois bons plats, faits maisons, nous auraient amplement satisfaits.
Pour ne rien arranger le fromage de brebis était nommé Saint-Nectaire et inversement, pas d’eau sur les tables et une organisation laissant à désirer !
Ce commentaire n’est pas rédigé pour attaquer stérilement l’établissement mais au contraire pour impulser une remise en question nécessaire.