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Restaurant pour apprécier une cuisine "fusion", bien faite, abordable et aux influences du monde, une bonne adresse à Rodez.
Thomas a bourlingué dans le Pacifique après avoir fait ses armes chez Joël Robuchon et chez Michel Truchon à Sauveterre-de-Rouergue. Installé dans l'adresse de l'ancien pape de la gastronomie locale Goût et Couleur, il se permet même de lui faire un clin d'œil. Ici la cuisine est « fusion », bien faite, abordable avec des influences du monde. Pour commencer tartare de dorade au soja ou brandade de patate douce, pour suivre un retour de pêche, chou-fleur à la vanille ou magret laqué à l'hibiscus pour terminer une pavlova déstructurée aux fruits de la maison.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LE GOÛT DU VOYAGE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :
Tout a commencé avec un soda périmé, rien qu’à la couleur on ne pouvait que s’en douter.
La tapenade d’olive noire au persil, ok s’est haché maison mais très hasardeux gustativement.
Le velouté de légumes (au jambon cru il me semble mais si oui, je le cherche encore) très fade, voire insipide, et pas de sel à table. Le tataki est pas mal, annoncé au wasabi et on le cherche encore aussi.
Parmentier de poisson à la patate douce, pourquoi pas mais je suis tombé sur une arête dès la première bouchée. J’ai fait goûter à un autre convive deux fois pour bien m’assurer que ce n’était pas terrible. Pas affreux, mais aucun intérêt. La salade de mesclun qui l’accompagnait n’allait pas du tout avec.
Quasi de veau en deux petits morceaux, un tendre et un dur… Arancini qui se comptent sur les deux doigts d’une main. Plat à 25€ !!!! Ouille !
Rien de prévu pour les enfants à part des plats à la carte mais rétrécis. J’ai pu comparer avec un plat normal en salle, et bien vous pouvez diviser la quantité par 3 ! Mon fils a eu très faim en sortant.
Heureusement on a pu se réconforter un peu sur le dessert. Cela a redonné un peu le sourire.
Alors niveau voyage, à part quelques lithographies Castorama aux murs, de la belle vaisselle, on n’a bel et bien pas bougé de rodez, un endroit pour voir et être vu.
Le service très aimable , cela a détendu l’atmosphère qui était lourde et coincée.
J’ai bien lu les réponses comme quoi c’est fait maison (on voit bien le travail de mise en place derrière, aucun doute là dessus) avec des produits d’exception, mais on n’est pas non plus sur du bœuf de Kobe ou des carottes en or massif. Il y a d’autres restaurants dans les environs qui font du fait maison à des tarifs bien plus abordables. Ou alors changez de fournisseurs