Adresse préparant des plats européens aux saveurs orientales, une cuisine franco-japonaises, des produits exotiques.
Un cadre zen, épuré à souhait, où le patron taïwanais, Lu'u Sai Minh, formé au Japon, mélange les saveurs orientales à des plats européens. Sa femme, une fille de l’Empire du Soleil-Levant, accueille les clients avec un sourire radieux. On y rencontre beaucoup de Japonais, mais l'adresse ne fait pas partie des spots parisiens et reste ainsi très discrète. La cuisine est plutôt franco-japonaise et le homard bleu ou le jambon ibérique Pata Negra inspirent le chef tout autant que des produits plus exotiques, mais il les met « à sa sauce ». Une dizaine de soupes à base de nouilles, servies dans un grand bol, constituent à elles seules un repas pour les moins affamés à l'heure du déjeuner. La cuisine varie en fonction du marché, on peut ainsi déguster une salade de méduses, une sole au caramel, un riz tobucco, un tofu aux œufs de cent ans, un thon cru et vinaigre de mandarine, un flanc salé au foie gras, ou encore une bavette au poivre. Une adresse raffinée que l’on garde précieusement dans son carnet.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur EBIS
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :

Premièrement la nourriture :
En entrée des gyoza : grillé d’un côté et complètement froid de l’autre, comme si c’était du surgelés. Pas très bon en plus.
Ensuite le ramen :
Le bouillon manquait de saveurs. La viande était tres grasse, le bouillon aussi a vrai dire. Soit j’en garde un souvenir vraiment faussé soit ça a vraiment perdu en qualité parce que j’avais pour habitude penser que c’était les meilleurs ramens de paris mais désormais et après avoir testé une vingtaine d’adresses, ils sont vraiment derniers.
De plus le service du midi était chaotique. Il a fallu super longtemps pour commander, et impossible d’avoir l’attention des serveuses qui ne venaient jamais vers notre table alors qu’on était dans le passage.
Pareil pour le paiement, beaucoup d’attente alors que le resto était peu fréquenté.
Ce n’est pas mauvais et le prix reste abordable mais nous ne reviendrons pas.
The restaurant’s exterior is quietly sophisticated: crisp awnings, delicate signage, and manicured greenery signal the kind of place where excellence is assumed, not advertised. Inside, the welcome is warm, the service gracious, and the atmosphere refined without being pretentious.
We started with complimentary edamame, followed by standouts like prawn tempura on a nest of crispy rice noodles — light, ethereal, and full of contrast — and gyoza, pan-seared and bursting with flavour. The miso soup was simple perfection.
For mains, I had the Iberian pork, a triumph of technique and restraint, with just the right balance of sear and tenderness. My wife’s steamed sea bass in ginger sauce was a gentle, fragrant dish that felt like home and ceremony in one.
To drink, the Dassai 45 sake elevated every bite — elegant, clean, and a perfect match.
We finished with matcha and bourbon vanilla mochi, served with sweet beans and candied pecans — a beautiful blend of tradition and texture that closed the meal with quiet brilliance.
Chef LUU and his team have created something rare at EBIS: a restaurant where flavours, form, and feeling are all in harmony. This is not fusion for effect — it’s fusion as art. A must-visit for those who appreciate culinary subtlety with soul.