Restaurant pour se régaler d'un vrai plat traditionnel italien à Dijon.
A tous les amateurs des films de Fellini, à ceux qui rêvent de s'attabler dans une ruelle en Italie pour se délecter de sa belle gastronomie, le Restaurant Chez Gina, hommage à Gina Lollobrigida, est le lieu que vous aimerez. La salle bigarrée, composée d'un mobilier chamarré possède un charme fou. Des recoins pour se mettre en retrait le temps d'un moment complice, des grandes tables pour des repas conviviaux entre amis, entre affiches et objets vintages, c'est un dépaysement assuré. On peut venir se régaler d'un vrai plat traditionnel italien, comme d'un panini, mais comme c'est ouvert toute la journée on peut aussi préférer une sucrerie autour d'un thé ou une planche de charcuterie autour d'un verre vin. Un vrai lieu de vie, de simplicité et de générosité. N'oubliez pas la terrasse aux grandes heures de l'été et avec un peu d'imagination vous serez plongé dans les années 50 dans une rue de Naples à siroter un Campari.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Avis des membres sur RESTAURANT CHEZ GINA
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :

Les serveuses sont gentilles, les cuisine vraiment très bonne ! Avec mon copain on s'est régaler. Tout est Top et l'ambiance général était vraiment agréable
Alors que je me dirigeais innocemment vers les toilettes – fort mal indiquées, soit dit en passant – je découvris une file d’attente digne d’un casting pour "The Voice". Toilettes mixtes, toilettes uniques : l’attente promettait d’être longue, très longue.
C’est alors qu’une serveuse m’indiqua avec bienveillance : « Prenez l’escalier, il y a des toilettes à l’étage. » Quelle bonne idée ! m’exclamai-je intérieurement. Je grimpai donc, plein d’espoir et de gratitude, en quête de ce graal sanitaire.
Mais là-haut, point de toilettes. Rien. Le vide. L’abîme. Soudain, un homme – barman ou minotaure, je ne sais plus – surgit, le souffle court, l’œil noir, et me lança d’un ton abrupt :
— Eh, vous faites quoi ?
— Eh bien… je vais aux toilettes ?
— Y’a rien en haut, descendez !
— Pourtant, votre collègue m’a dit de monter.
— Moi je vous ai rien dit !
— Peut-être parce que… je ne vous parlais pas ?
Et là, mes amis, commença un échange surréaliste, aussi absurde qu’un sketch de Raymond Devos, mais sans la poésie. Une discussion où l’on vous fait sentir coupable d’un crime que vous n’avez pas commis, et où toute tentative de logique se heurte à un mur de mauvaise humeur.
J’eus le malheur de demander à ce monsieur un peu de courtoisie et, pourquoi pas, des excuses. Rien n’y fit. Pas un mot, pas un geste. Seulement ce regard… ce regard que seul un barman très en colère peut lancer à un client égaré.
Nous quittâmes donc les lieux prématurément, bien décidés à ne plus y dépenser un sou. Au moment de régler l’addition, la personne à la caisse, plus cordiale, me confia qu’il y avait effectivement des toilettes à l’étage (ah ?). Pendant ce temps, le barman, lui, restait dos tourné, tel un sphinx rancunier, enveloppé dans un silence pesant.
Quelques conseils, en toute amitié :
1. Si vous ne voulez pas que vos clients montent à l’étage, ne leur dites pas de le faire. Et, soyons fous, mettez un panneau.
2. Si un jour vous parlez mal à un client – cela arrive, c’est humain – sachez qu’un mot d’excuse peut faire des miracles. Un petit geste, un sourire, une tournée de café, que sais-je ? C’est facile, et ça change tout.
Quant aux amateurs de terrasses sur la place du marché : bonne nouvelle, il y en a d’autres. Et certaines offrent même des toilettes sans quête initiatique.