Cuisine élaborée par le chef Patrick Cartier à découvrir dans un célèbre restaurant avec patio ombragé de charme à Marseille.
Adresse incontournable et à part, créée en 1999, à quelques minutes du Prado. On prend place dans la salle intérieure ou dans le patio de charme, idéal pour les soirées estivales. Dans l'assiette, de nombreuses propositions gourmandes : dos de cabillaud et ses légumes vapeur, supions frits à la provençale, raviolis aux artichauts, bavette Black Angus, escalope milanaise ou encore foie de veau en persillade ! Excellentes pizzas au feu de bois. Une institution marseillaise très vivement recommandée par le Petit Futé !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LA VILLA
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.

Hier soir à La Villa, Marseille, nous étions venus passer un bon moment, confiants dans le sérieux de l’établissement et le professionnalisme du patron, Thierry Albert, dont on sait qu’il veille avec rigueur à chaque détail : de la mise en place des tables à la qualité du service. Lui, on le voit s’impliquer, soigner chaque geste, incarner l’esprit de la maison. Malheureusement, ce que nous avons vécu en salle était aux antipodes de cette exigence.
La serveuse en charge de notre table — la vingtaine bien sonnée, probablement issue de la génération Z — s’est illustrée par une attitude hautement condescendante. Alors que nous n’avions même pas fini notre plat, elle débarque avec un « Bon bah alors, où on était avec vous ? », sourire forcé et regard vide à l’appui. Deux minutes après avoir décliné le dessert, elle nous a littéralement jeté l’addition sur la table, sans un mot, comme s’il fallait vite libérer les lieux.
Le clou du service ? Un verre de rosé servi sans aucune présentation de la bouteille, sans nom, sans origine, sans même une tentative de contact humain. À croire que le vin nous était servi au mètre, comme dans un self anonyme.
Et puis, ce regard. Ce fameux “Gen Z stare” dont les réseaux sociaux raffolent : yeux grands ouverts, fixés sur le vide, l’air blasé et méprisant, manifestement gênée de devoir adresser la parole à des clients « trop vieux » pour mériter un effort. Un classique de TikTok, paraît-il, pour exprimer le mépris face à une question jugée “stupide”. Sauf qu’ici, on parle de clients dans un restaurant, pas d’un sketch entre potes en ligne.
Ce comportement n’a rien à faire dans un cadre professionnel, encore moins dans un établissement aussi soigné que celui que tente d’incarner M. Albert. Ce n’est pas un “problème de communication” ou un “nouveau langage générationnel” : c’est de l’impolitesse brute, du désengagement flagrant, et une incompréhension totale de ce qu’est l’accueil.
Si la génération Z considère que « le client n’a pas toujours raison », elle doit comprendre que le client, lui, a toujours le choix d’aller ailleurs. Et c’est exactement ce qu’on fera.
Il serait peut-être temps que M. Albert, dont l’engagement ne fait aucun doute, revoie ses critères de recrutement et privilégie des profils formés réellement au métier, issus par exemple d’écoles hôtelières sérieuses comme Vatel, où l’on enseigne non seulement l’art de servir, mais aussi le respect, le sens du détail et la conscience professionnelle. Parce que la bonne volonté d’un patron ne peut pas compenser le manque total de savoir-être de son personnel.



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Questions fréquentes :

Ces instants culinaires sont accompagnés par un eccellent accueil où où professionnalisme et convivialité sont appréciés.