Une cuisine rustique à base de produits locaux avec une touche de subtilité à Marseille.
Le Petit Cabanon, c'est l'histoire d'un projet passionné : celui du chef Anthony Germani, aux commandes de cette bonne table du côté de la Joliette. Un lieu cosy, dans la tradition provençale qui allie également des touches de modernité. À l'image de la cuisine du chef, volontairement rustique, rappelant la cuisine de son enfance, avec une touche de subtilité en plus. Les produits travaillés ici sont locaux, achetés auprès de producteurs de la région. Le chef les façonne sous vos yeux. On aime vraiment autant la déco élégante que les assiettes dressées avec soin. Un bistrot provençal qui vous fait revoir vos idées sur la cuisine de la région. Service non-stop dans la journée.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur UN PETIT CABANON BOUILLON
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Trouvez des offres de séjours uniques avec nos partenaires
Questions fréquentes :

Plat pas ouf
C’était pourtant bien parti avec une entrée correcte.
Mais les raviolis manquent de cuisson (j’ai laissé certains morceaux pas cuits), pas d’assaisonnement et manque cruellement de goût. À 26€ les raviolis c’est loupé.
Côtes de cochon trop cuites presque sèches, on cherche encore les côtes du cochon.
du cerfeuil sur les 3 plats….
Musique commerciale de mauvais goût qui ne colle pas avec le cadre et l’ambiance.
Une soirée qui se termine donc mal, nous ne reviendrons pas et ne recommandons pas. Beaucoup trop cher au vu de la qualité des plats servis. La moindre des choses aurait été de demander comment s’était passé le repas.
Un vrai loupé.
Additionally, I must acknowledge that the octopus starter was well-prepared. However, beyond that, many aspects fell short. At some point between my reservation and my visit, this restaurant seems to have vanished from the Michelin app. After my experience, I understand why.
The restroom was in poor condition, resembling that of a pub rather than a fine-dining establishment: only an air dryer was available (no towels), and the toilet seat was discolored with brown stains. The wine cabinet’s glass windows were visibly dirty; a detail I couldn’t ignore, given my view of them from the table.
The table setting was inconsistent and underwhelming; while other diners had thick white napkins, mine were cheap paper ones, as if I were at a fast-food joint. The starter included tough, dried tomatoes that tasted straight from a can. As for the main course, the pork was overcooked.
Overall, the experience was disappointing, and the restaurant’s decline in standards seems evident.