Restaurant avec terrasse pour les amoureux du plein air à l'ambiance de bord de mer à Dunkerque.
Le Bako vous offre un cadre moderne et une ambiance de bord de mer, été comme hiver. Sa terrasse chauffée ravira les amoureux du plein air. Au menu : des plats traditionnels de la région, mais aussi des grillades, des poissons et surtout des moules ! Le chef ne travaille qu'avec des produits frais et de saison et apporte un soin tout particulier à l’assaisonnement des plats en jouant avec les épices et les saveurs. Vous pourrez ainsi déguster une tranche d'espadon et sa sauce antillaise ou des gambas et leur sauce « maasai » par exemple. Les amateurs de sucré succomberont, eux, sans difficulté à la douceur des desserts maison. Côté ambiance, le restaurant propose une atmosphère résolument zen et intimiste, et vous permet de profiter de cette cuisine simple et savoureuse en toute sérénité. L'accueil est sympathique et chaleureux.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Avis des membres sur LE BAKO
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.




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Questions fréquentes :

Dunkerquois depuis plusieurs années, je n’avais jamais eu la curiosité de franchir la porte du Bako. Ce soir-là, invité à dîner, j’ai décidé de me laisser tenter. Après tout, peut-être étais-je passé à côté d’un trésor culinaire ?
L’expérience commence dès la prise de commande.
Tout commence par une question innocente : « Quels vins proposez-vous au verre ? » La réponse fuse, désarmante : « Tout, du blanc, du rouge, du rosé… ». Clair, net, précis, presque militaire. Mais pour savoir quel blanc, quel rouge ou encore si le rosé a une couleur, il faut insister.
Vient ensuite le choix des plats. Notre table, dans un bel élan d’harmonie, opte pour des moules-frites. Une valeur sûre, un concept simple : des moules et … des frites.
Les moules étaient savoureuses mais nous étions un peu en reste sur la deuxième partie su plat : une seule assiette de frites, destinée à quatre convives. Une sorte de test implicite de cohésion d’équipe ou d’autodiscipline alimentaire, peut-être ?
Naïfs, gourmands que nous sommes, nous commettons une erreur stratégique : nous demandons un peu de mayonnaise pour accompagner les frites. Et là, tout bascule. Cette mayonnaise, diaboliquement efficace, augmente notre consommation de frites, si bien que la modeste assiette se vide à une vitesse record. Pas de panique, pensons-nous, une nouvelle assiette suffira à combler nos appétits.
Sauf qu’au Bako, tout a un prix, y compris votre seconde assiette de frites. Celle-ci est donc facturée en supplément. Et, pour couronner le tout, la mayonnaise, gracieusement incluse dans la première tournée, devient soudainement payante lorsqu’elle accompagne les frites « supplémentaires ». Une logique implacable d’un point de vue linguistique, mais d’un point de vue commercial… disons que la créativité du concept mérite d’être saluée.
Arrive le moment du dessert, souvent la partie qui sauve une soirée mitigée. Nous plaçons donc tous nos espoirs dans la tarte aux pommes « maison ». Un classique !
La première bouchée nous a invité à nous demander s’il ne fallait pas changer de « maison ». Quelques tranches de pommes égarées sur une sorte de crème pâtissière gélifiée, le tout sur une pâte insipide, et voilà. Trois courageux goûteurs ont tenté de terminer la part ; tous ont échoué, vaincus par une absence totale de saveur.
En conclusion, je vis à Dunkerque depuis 15 ans, et ce soir, j’ai enfin compris pourquoi je n’avais jamais poussé la porte de ce restaurant. Une forme d’instinct de survie, probablement. Suivez le vôtre : épargnez-vous cette aventure.