Cantine parisienne proposant une carte un peu restreinte, des viandes grillées, des poissons et des desserts.
Les premiers clients de cet ancien bistrot de quartier légèrement revisité, furent les Chirac. Bizarre ? Pas du tout, car le chef, Naoto Masumoto, est resté dix ans au Benkay, la table japonaise de l'ancien hôtel Nikko (devenu Sofitel) et l'une des cantines parisiennes de l'ex-couple présidentiel. Après un vif succès et une bonne renommée, il a donc décidé de rendre son tablier pour s'offrir un petit teppanyaki à deux rues de là. Il paraît que les Chirac ont adoré et nous aussi. La carte est un peu restreinte ; normal, elle change souvent, mais ce qui la compose est excellent. Le tartare thon au wasabi et shisi, salade de jardin potagère est fin et délicat. Le carré de veau grillé au foie gras, crème miso noire de Kyoto est une pure merveille. Et pour couronner le tout, la poire confite en gelée de uméshu, coulis de kaki, glace fleur d’oranger est incroyable… Toutes les cuissons et l'alliance des saveurs sont justement maîtrisées. Ce Concert de Cuisine devrait jouer longtemps ses nouvelles partitions. Quant au prix, il est peut-être un peu disproportionné, surtout pour le soir. Tout le monde n'est pas ancien président de la République.
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Avis des membres sur LE CONCERT DE CUISINE
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这是-家美味极佳的小飯店,已經有十几年了,主橱先生以前在巴黎米其林三星做主櫥,之后自已开了个小飯店过平静安宁的饮食生活!並且几十年如一日天天親自掌匙,可口美味的菜。我特別赞美他平静的心态,特別在这競爭激烈的环境之下,能永远保持简单生活的品质,不贪婪!在此为他点上一千個贊!????????????❤️❤️❤️????????????????????????


La cuisine, le meilleur repas de ma vie, j y retourne pour mes 60 ans ????
Merci beaucoup pour ce moment resté gravé dans notre cœur ❤️
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Questions fréquentes :

Ce qui est dommage, c'est l'attitude du chef. Il grommelait avec son subordonné et je ne me sentais pas bien. Si vous ne comprenez pas le japonais, vous ne le remarquerez peut-être pas. Cela m'a rappelé mes anciens patrons à Tokyo lorsque j'y travaillais. C'est une culture japonaise honteuse dans laquelle les patrons blâment les erreurs des subordonnés avec une telle sévérité qu'il s'agit presque d'une brimade. C'est vraiment dommage parce que la cuisine du chef était tellement bonne ! Je reviendrais au moins une fois par mois, mais s'il agit toujours comme aujourd'hui, je ne reviendrai pas souvent. Peut-être une fois par an quand il me manque un bon plat japonais authentique, ce qui est difficile à trouver à Paris.