Le Retour à la Terre, c’est un verger conservatoire bio en Normandie créé par Catherine Chalom et sa famille. Aujourd’hui, c'est aussi une boutique bio très agréable dans le 11e arrondissement, aménagée sous une verrière un peu comme un marché couvert. Les fruits et légumes de saison côtoient des fruits et légumes oubliés en direct du verger de Catherine, où des produits frais flirtent avec des surgelés, où le fromage à la coupe n’attend plus que le pain et le vin, où les variétés de miel se marient avec les confitures. Un vrai lieu de vie à découvrir.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LE RETOUR À LA TERRE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Trouvez des offres de séjours uniques avec nos partenaires
Questions fréquentes :

Le Retour à la Terre Rive-Droite est à l’image des autres établissements de la chaîne : un véritable plaisir à chaque visite ! La qualité des produits est exceptionnelle, et le service, toujours impeccable, fait toute la différence. L’équipe est chaleureuse, compétente et toujours prête à conseiller. Je recommande les yeux fermés ! ????????
Le 114 avenue Philippe Auguste, à Paris, devant le magasin d’alimentation “Retour à la Rive Droite”, a été le théâtre d’un incident troublant. Un homme armé, de type européen, a été interpellé par les forces de l’ordre après avoir menacé des manifestants pacifiques rassemblés pour dénoncer le génocide en Palestine. Ces citoyens, arborant des drapeaux palestiniens, exprimaient un message universel : “Stop au génocide” et un appel à la paix, conformément aux droits fondamentaux garantis par le droit international.
1. Le silence médiatique : une prise de position implicite
Malgré la gravité des faits, cet événement est resté absent des grands médias. Ce silence interroge profondément, d’autant plus qu’il contraste avec la couverture souvent extensive et stigmatisante d’autres incidents. Si l’agresseur avait été arabe, africain ou musulman, les médias auraient probablement titré : “Un terroriste attaque des manifestants”, avec des débats en continu. Mais ici, face à un homme de type européen, les termes “terroriste” et “extrémiste” sont étrangement absents, laissant place à une indifférence médiatique déroutante.
Cette asymétrie dans le traitement des informations alimente un sentiment d’injustice et met en lumière des biais structurels dans la couverture médiatique des événements liés au Proche-Orient et aux mobilisations pro-palestiniennes.
2. Un rassemblement pacifique menacé
Les manifestants présents devant Retour à la Rive Droite portaient un message de paix et de justice. Ils dénonçaient, comme le prévoit leur droit fondamental, le génocide en Palestine – un terme qui, selon la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948, désigne la destruction systématique d’un groupe national ou ethnique. Leur appel à mettre fin aux violences subies par le peuple palestinien était légitime, mais ils ont été confrontés à une menace directe.
3. Une intervention policière risquée
Les images montrent les forces de l’ordre approchant l’agresseur à moins d’un mètre, une situation à haut risque. Si l’interpellation a été menée sans blessés, cette proximité illustre un besoin urgent de renforcer la formation des policiers dans les techniques d’intervention. La sécurité des agents, des manifestants et même de l’agresseur doit rester une priorité absolue.
4. Un appel à l’éthique journalistique
Le rôle des médias est de relayer les faits de manière impartiale et de donner une voix à ceux qui la réclament. Ignorer cet incident, c’est trahir les principes fondamentaux de la liberté d’expression et du droit à une information transparente, comme le stipule l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Informer, c’est déranger. Les journalistes ne doivent pas céder à des biais implicites ou à des pressions politiques. La couverture médiatique doit être équitable, qu’il s’agisse de dénoncer une menace envers des manifestants pacifiques ou d’exposer des injustices à l’échelle mondiale.
Conclusion : la justice et la vérité ne connaissent pas de frontières.
Cet incident au 114 avenue Philippe Auguste doit être un rappel : défendre la paix et dénoncer un génocide sont des actes nobles, protégés par le droit international et les droits humains universels. Que ce soit dans les rues de Paris ou ailleurs, les appels à la justice méritent d’être entendus.
Les médias et les autorités doivent agir. Face à une injustice, le silence est une forme de complicité. La vérité ne doit jamais être sacrifiée sur l’autel du confort ou des préjugés.
Pas très sérieux ni crédible ce magasin bio soi-disant défenseur de la planète .