Restaurant où la cheffe concocte des classiques réalisés avec des créations originales, des découvertes méritant une dégustation
L'enfer de Dante est bien loin ici, on se rapprocherait plutôt du paradis tant cette maison est une jolie pépite. Dans cet espace design rehaussé de tons chauds (ocre, rouille), les stars, ce sont les plats. De régalantes petites assiettes, élaborées par la souriante cheffe Rebecca Beaufour, diplômée de Ferrandi et passée par de belles adresses (L'Arpège, le Ritz…). Sa « cuisine de partage » et « de produits » aligne des compositions bien balancées (bao porc confit, ravioles-blettes-beurre aux algues, ris de veau croustillant/chou-fleur…). Un coup de cœur !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur DANTE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :

The food was well presented but largely bland, under seasoned and over complicated. Some of the flavour combinations sounded ridiculous. Yes, they were new but I definitely won’t be going back for seconds…
The asparagus was very overcooked and stringy, oysters were drowning in the homemade granita, the cockles gritty and the tuna dish extremely bitter.
Try some place else.
Services :
Un service aussi attentionné qu’extraordinaire. Le restaurant vaut le détour pour voir l’équipe.
Cuisine :
- Tarama : des « frites » surprenantes à découvrir. Malheureusement le tarama est un peu décevant
- Thon : Tout pour plaire sur le papier mais non abouti en terme de goût
- Les aubergines : une surprise gustative assez inédite. Une utilisation unique du fenouil. Je recommande pour l’expérience.
- la Sole : pourquoi ? Un traditionalisme qui fait tache dans cette carte qui cherche l’innovation. Une potion decorrélé du concept de tapas. Une préparation agréable digne des bonnes brasseries parisienne
Vins :
- Une carte des vins éclectique et abordable. Une meilleure catégorisations par localisation aiderait la lecture des cépages et l’orientation des goûts.
Musique :
Bande-son vintage mais depassée et mainstreaming
Cadre :
Decors Italien des années inspiration De Chirico. Soignée jusque dans la vaisselle.
La conception de la carte me laisse dubitative : pour faire coexister de petites assiettes inventives en mode tapas gastronomiques aux côtés de grandes pièces à partager très traditionnelles?
Est-ce pour satisfaire la faim des clients après des amuses bouches un peu légers ?
Sur les saveurs: assiettes très interessantes et originales, quoique inégales. Le tarama et son pain, délicieux. La sériole était prometteuse mais la crème de pollen et le manque d’assaisonnement la rende un peu écoeurante.
Le sliders de thon, un peu deceptif: pas vraiment de la ventreche et l’ail des ours et cédrat restent transparents.
L’aubergine est une véritable réussite : des saveurs inédites et beaucoup de gourmandise.
La sole meunière était bien exécutée mais trop classique.
Le service compense tous ces petits défauts : chaleureux, attentionné et engagé pour le restaurant, rien à redire.
La bande son en mode 80s est totalement inadéquate.
Beaucoup de potentiel mais à mon sens, la cheffe gagnerait à se concentrer sur des assiettes très créatives (petites à moyennes avec un pricing gradué) qui son de toute évidence son point fort et différenciant.
La carte des vins est interessante avec de nombreux vins étrangers et accessible: un vrai plus.