Y aller et contacter
Restaurant, avec décor élégant et raffiné, proposant une cuisine gastronomique chinoise de haut vol et un service irréprochable.
Par son décor somptueux, raffiné et élégant, cet établissement a conservé toute son âme du 18e siècle. Il fallait bien un endroit de prestige pour abriter la cuisine gastronomique chinoise de haut vol d'un restaurant portant le nom du plus grand groupe de restauration en Chine. Tout le savoir-faire des deux chefs chinois est décliné dans les assiettes. Les méthodes authentiques et une vision de l'art culinaire moderne s'harmonisent parfaitement pour offrir une superbe symphonie de saveurs. Leur plat iconique : le fameux canard laqué et sa recette authentique de Pékin réalisée depuis 1864. Le canard est entièrement découpé devant vous. L'accueil et le service sont irréprochables.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur QUANJUDE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Trouvez des offres de séjours uniques avec nos partenaires
Questions fréquentes :
Dès l’entrée, le visiteur est immédiatement saisi par la majesté du lieu : une harmonie parfaite entre tradition asiatique et sobriété moderne. Les boiseries délicates, les lanternes de soie, les jeux subtils de lumière et la disposition zen de l’espace invitent à un voyage immobile en Chine impériale. L’ambiance est feutrée, propice à la contemplation, à la dégustation, et à l’éveil des sens.
Quanjude est, sans conteste, le maître incontesté du canard laqué pékinois, préparé selon une méthode ancestrale jalousement gardée. Ce plat emblématique, servi en trois services, est une véritable ode à la précision, au goût et à l’harmonie des textures. La peau croustillante, finement laquée, fond sous la langue avec une intensité rare, tandis que la chair, d’une tendreté presque irréelle, est relevée par un subtil équilibre entre douceur et umami.
Au-delà du canard, la carte propose un éventail de plats d’une grande finesse : raviolis faits main, langoustines sautées au thé vert, tofu aux mille épices, légumes racés, et desserts aux notes florales viennent composer une partition savamment orchestrée. Chaque assiette, véritable œuvre d’art, témoigne d’un savoir-faire exigeant et d’une créativité maîtrisée.
Mais ce qui élève véritablement l’expérience chez Quanjude Bordeaux au rang de prestige rare, c’est sans conteste la qualité absolument remarquable du service.
Le personnel, d’un professionnalisme irréprochable, incarne les plus hautes valeurs de l’hospitalité asiatique : courtoisie, discrétion, anticipation des besoins, et souci du détail. Chacun des membres de l’équipe semble animé d’un sens du service presque instinctif, sachant se faire présent sans jamais être envahissant, attentif sans être rigide, chaleureux tout en conservant la solennité qu’impose un établissement de ce niveau.
Chaque geste – du service du thé jusqu’au découpage du canard exécuté avec maestria sous les yeux des convives – est chorégraphié avec grâce. Le personnel est en outre parfaitement formé pour répondre à toutes les interrogations sur la composition des plats, les techniques culinaires, les accords mets-thés ou vins, et se montre constamment soucieux de personnaliser l’expérience selon les désirs et les contraintes des clients. Un mot particulier doit être adressé à la direction de salle, dont la gestion fluide, élégante et profondément humaine est digne des grandes maisons étoilées.
Quanjude Bordeaux est bien plus qu’un simple restaurant : c’est un sanctuaire du goût, une ambassade de la tradition gastronomique chinoise en terre bordelaise, un lieu où chaque détail est pensé pour offrir au visiteur un moment suspendu hors du temps.
Le seul intérêt de ce menu, et non pas le moindre, est le canard laqué à la pékinoise découpé devant vous par un chef asiatique et servi avec des crêpes, légumes et sauce au soja et au miel.
J’ai trouvé que c’était vraiment très bon.
Toutefois, en dehors de ce plat, bien que les assiettes soient bien présentées, le reste n’a pas d’intérêt particulier et donc facturé beaucoup trop cher.
Si je devais revenir, je prendrai uniquement le canard entier pour 2 personnes à 120€ , soit 60€ par personne.
Quant à la boisson, difficile d’accorder un vin avec des saveurs asiatiques. Nous avons opté pour un rosé sec. Par ma part, une Tsingtao bien fraîche aurait fait l’affaire.
Le personnel est agréable et la salle avec ses moulures, son parquet ancien et ses lustres en verre fait son effet.