Restaurant japonais à côté de Breizh Café offrant une cuisine réalisée avec des produits locaux et biologiques
L'espace aéré et l'ambiance industrielle vous plongent ailleurs, illustrant cette cuisine qui fait se rencontrer la Bretagne et le Japon. Bertrand Lacher propose une cuisine réalisée à partir de produits locaux issus de l'agriculture biologique. La carte évolue au fil des saisons et met à l'honneur des plats à partager servis au fur et à mesure. Le chef Yasu fait des merveilles avec des produits bretons et propose sashimi, maki, karragé (poulet mariné), wagyu (bœuf japonais) ou tonyu nabe (fondue japonaise). Un concept à partager et une excellente table !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur OTONALI
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :

Mon copain franco-japonais et moi-même (également franco-japonaise, ayant vécu plus de 10 ans à Tokyo) avons dîné chez Otonali. Nous avions bien consulté les prix à l’avance sur Google Maps, donc nous n’avons pas été surpris par le tarif en lui même, qui reste élevé comme souvent pour la cuisine japonaise en France.
Cependant, l’esprit izakaya est censé être plus accessible et convivial, et ici, nous avons trouvé les prix un peu trop élevés pour ce que c’était. Le karaage à 25€, par exemple, que nous avions repéré à l’avance, nous laissait espérer une portion plus généreuse ou une qualité encore plus marquée. Idem pour le tofu. À Tokyo, un karaage dans un izakaya coûte environ 600¥ : évidemment, nous comprenons qu’il s’agit ici d’une version revisitée, et nous avons tout de même apprécié le goût, les plats étaient bons. Mais dans l’ensemble, le rapport qualité-prix nous a semblé déséquilibré.
Petite recommandation également : nous avions commandé le riz en même temps que les plats, mais comme ceux-ci n’arrivent pas tous en même temps pour nous laisser le temps de déguster, le riz a tendance à refroidir avant d’être dégusté, ce qui est dommage pour du koshihikari et pour une cuisine où la température et la texture jouent un rôle important.