LE BRUIT QUI COURT
Un lieu atypique qui est tout à la fois un bar, un salon de thé, une galerie d'art et une salle de concert : la vie du village.
Bistro ? Salon de thé ? Espace de création ? Expos ? Concerts ? Eh bien, qu’on se le dise : Le Bruit qui Court au cœur de Kaysersberg (à 2 pas de la maison natale d’Albert Schweitzer), c’est tout ça et bien plus encore, grâce à l'énergie de la conceptrice des lieux, Marie-Pierre Moyses-Strack. Ici, on s’en met plein les yeux et les oreilles et il y a toujours plein de bonnes choses à grignoter en version salée ou sucrée (crudités à croquer, bibeleskas, quiches, planchettes mixtes, tiramisu, gâteaux…) et à siroter (thés, tisanes, jus de fruit, bières artisanales…).
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LE BRUIT QUI COURT
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Situé au fond d'une jolie cour, dans un joli cadre, avec des tables et chaises dépareillées, entre les fleurs et le potager sous le regard bienveillant des poules "mercotte et meringue", on y déguste de bonnes pâtisseries, des planches de charcuteries et fromages, accompagnées de vins ou jus de fruits locaux, à petits prix.
L'ambiance est conviviale, on communique et échange avec ses voisins, avant de fureter dans une petite galerie qui mélange art et brocante.
C'est bucolique, romantique, charmant.
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Questions fréquentes :

Je suis métisse, mon compagnon est de peau caucasienne et tout les autres clients l'était également. Nous nous sommes installés à une table et trois groupes se sont installés un peu plus tard. Les trois serveurs ont accéléré le pas, fuit du regard et ignoré quand nous voulions passer commande. Ils ont servis tout le monde sauf nous, on a attendu pendant 20 min. Et quand nous sommes levé pour partir, je suis allée les prévenir qu'il avait une table de libre pour les clients suivent, les serveurs ont fait comme si je n'existais pas.