Deux cuisines pour un restaurant : traditionnelle et végétarienne, à déguster sur une agréable terrasse au bord de l'eau, à Poitiers.
Posé au bord de l'eau, vue sur le Clain, ce restaurant orchestré par Quiterie et Julien Letiers est le trait d'union entre deux univers : la cuisine traditionnelle et la cuisine végétarienne. Sur son piano, le chef Aurélien Baguier joue plusieurs partitions en suivant les variations des saisons et en travaillant des produits locaux. Dans le panier du chef, il propose des plats variés. Des assiettes généreuses, une décoration moderne, le Trait d'union a tout pour plaire en hiver comme en été, avec son cadre bucolique, son agréable terrasse et sa joyeuse équipe.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LE TRAIT D'UNION
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Questions fréquentes :

Et le plat le plus cher de la carte : le poulpe… soit il était trop cuit, soit surgelé parce qu’il n’avait pas de goût… heureusement que la purée de patate était bien assaisonnée et agrémentée d’olives et de tomates et pignons… sinon on se serait cru face à un morceau de brandade même pas salée.
Je ne mets presque jamais de commentaires ou que des positifs mais la ils m’ont tellement déçue que je me lance… franchement ils ne devraient pas monopoliser ce superbe lieu au bord du Clain pour servir cette médiocrité !
Les entrées sympas on a bien aimé
Les grillades trop cuites, la viande rouge carbonisée, Aristide passe, je lui dit mais il s'en fou puis passe dix fois à côté de moi en m ignorant
L autre serveur très gentil fait de son mieux, il me resserre un autre morceau mais encore carbonisé
Conclusion je vais souvent au restaurant à Poitiers, la concurrence est rude, je n'y remettrais plus les pieds car je connais pleins d'autres endroits de qualité avec des serveurs sympas et compétents
À vous de faire votre choix
PS : avis modifié suite à votre retour je pensais que Aristide était le patron, mais je maintiens le reste