COUVENT DES SOEURS DU TRÈS SAINT SAUVEUR
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Établissement avec chambres pour méditer et se ressourcer à petit prix, menus adaptés aux occasions proposés par le chef
Fondé au XIXe siècle, le couvent offre un espace de quiétude propice aux rencontres et aux échanges. Toutes les chambres sont équipées d’une salle de bain privative, avec douche ou baignoire, lavabo et WC. Vous pourrez méditer et vous ressourcer, partir à la découverte de la région, le tout à petit prix. Pour vous restaurer, l'établissement propose déjeuners et dîners, paniers repas et buffets. Le chef proposera également des menus adaptés à toutes les occasions.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur COUVENT DES SOEURS DU TRÈS SAINT SAUVEUR
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :
- Après l'entrée, les membres de notre groupe qui avaient commandé une Bouchée à la Reine ont été servis en premier : pâté inhabituellement grand, ragoût sans champignons, à peine de sauce, assiette remplie de spätzle.
- Environ une demi-heure plus tard, les membres qui avaient commandé un Bäckeofe ont été servis, alors que les membres assis à côté avaient déjà fini de manger leur Bouchée à la Reine depuis longtemps. Ouah !
- Environ 3/4 d'heure après le service de la Bouchée à la Reine, plusieurs grands bols contenant la sauce pour la Bouchée à la Reine ont été posés sur les tables. Presque personne n'en a mangé après que la Bouchée ait été mangée depuis longtemps.
Résumé :
- Incompétence gestronomique puissance trois
- Zéro organisation dans la cuisine
- Zéro gestion responsable en cuisine
- Chacun y fait ce qui lui passe par la tête sans être organisé.
- Ce qui est urgent :
= Seule une personne compétente en la matière a la direction et l'exerce
= Fréquenter une école spécialisée dans la gastronomie pour acquérir les connaissances de base nécessaires à la gestion d'une cuisine de restaurant.
Ma recommandation 1 : la qualité de la nourriture ainsi que la chronologie du service nous ont fait penser que des personnes handicapées mentales étaient probablement employées dans la cuisine, y compris dans sa direction. Si c'est le cas, il faut le dire ouvertement pour éviter que des clients ayant des attentes normales pour un restaurant normal ne viennent manger chez vous et soient déçus.
Ma deuxième recommandation : ne jamais, jamais, jamais s'attendre à y trouver le plaisir de manger, mais seulement l'expérience d'un chalet d'alpage mal géré par une vieille paysanne, loin de toute civilisation.
Wolfgang A. Maderthaner,
68970 Guémar