Moulerie cosy proposant un délicieux choix de moules-frites maison.
Poussez la porte du bâtiment médiéval le plus étroit de Nantes et découvrez une moulerie cosy avec cheminée et belles pierres apparentes. Ici l'authenticité est sublimée, tout comme le goût. Les moules sont délicieuses et le choix des sauces est varié : marinières, roquefort, curry breton, chorizo, champignons, crème de poireaux, provençale... Le tout accompagné de frites maison comme on aime. À la carte également, une pièce du boucher et un poisson. L'été, on savoure ses moules-frites sur une jolie terrasse orientalisante d'où l'on voit le jardin suspendu de l'artiste nantais Evor. Sélection de jus de pomme, cidres, vins et digestifs bretons. Salles privatisables (dont terrasse guinguette).
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur MOULERIE BRÛLE-DOIGTS
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Questions fréquentes :

Nous nous sommes régalés et nous y retournerons avec grand plaisir
Rapidité et goût soignée le tout enrobé d'un cadre très chouette !
À très vite le brûle doigts !
Nous avons attendu longtemps pendant que deux couples français, sans réservation, étaient installés avant nous. Un serveur à la longue barbe, persuadé que nous étions non seulement étrangers mais aussi sourds, a expédié la situation avec un “Ces touristes peuvent attendre”. Le ton était celui qu’on réserve à un parent encombrant.
Une fois enfin à table, nous avons commandé un apéritif. Il est arrivé quand les plats étaient déjà servis. À ce stade, au lieu de nous ouvrir l’appétit, il nous l’a refermé.
Le restaurant se dit spécialisé dans les poissons et fruits de mer. Soit. Mais ce qui nous a été servi relevait plus de l’archéologie alimentaire que de la gastronomie. Les moules étaient noyées dans une crème épaisse comme on n’en osait déjà plus dans les pires menus des années 80. Aujourd’hui, dans la cuisine moderne, la crème dans les fruits de mer est un péché véniel. Ici, c’est une fierté.
Le poisson ? À oublier. Les fruits de mer ? Pire encore. Réchauffés, fatigués, servis avec cette pellicule huileuse qui rend un plat plus suspect qu’appétissant.
Les frites étaient presque carbonisées. Un simple regard suffisait pour comprendre que l’huile réclamait pitié depuis au moins deux services.
Et pour couronner le tout, une serveuse s’est plainte parce que nous avions commandé trois entrées pour quatre personnes. L’hospitalité, ici, se mesure visiblement au gramme près.
Les toilettes ? Dans un état pitoyable. Sales.
Seul rayon de soleil : un jeune serveur blond aux cheveux bouclés, poli et attentionné. Mais aussi isolé qu’une fleur dans le désert. Le reste du personnel ? Froid, désagréable, parfois carrément agacé par la présence des clients.
Je n’aime pas écrire de mauvaises critiques. En général, je préfère me taire. Mais cet endroit ne mérite aucune indulgence. Ici, le dysfonctionnement est structurel, la grossièreté systémique.
Ce n’était pas un dîner. C’était un avertissement
L’Equipe au service est très sympa et le petit plus en été : le patio aux airs de Côte d’Azur ☀️