LE RELAIS DE PASTURAT

Le gîte est à éviter absolument,Nous étions 2 couples sur le chemin de compostelle. Une chambre composée de 2 lits de 90 dans un ancien salon avec comme table de nuit une vieille chaise|A l’étage une seconde chambre tout aussi vieillotte a la limite de l’insalubrité |Une salle de bain du même ordre|Nous ne savions pas qu’un tel type d’hébergement existait encore

Quand je lis tous les avis, je me dis que l'on n'a pas du s'arrêter dans le même gîte. Pas grand chose de positif. Si, le propriétaire est venu très gentiment, nous chercher en voiture à quelques km du gîte.

Nous avons payé pour une chambre d’hôtes (sic) qui ne disposait ni de WC, de lavabo ou douche !! Le couloir desservant notre chambre n’offrait ni WC, lavabo ou douche !!
Confirmez vous ce constat ?

Déçus par les chambres, une dans un salon de passage, une autre sans salle de bain ni toilettes...il fallait aller dans une autre chambre occupée par d'autrespersonnes, c'est inconcevable, la nuit c'est très dérangeant |Le repas pas exceptionnel (beaucoup de plats etaientà base de conserves) pourtant dans une région réputée pour ses produits. De plus le chat se promenait sur la table pendant le repas. |Le prix payé ne correspond pas aux prestations.|Dommage qu'il n'y ait pas de contrôle de la part des gîtes d'etape

Séjour d'une nuit au relais de Pasturat, réservé plusieurs mois en avance, en précisant une demande de repas végétarien (pas de viande pas de poisson) et une allergie au melon et à la pastèque. Confirmation de la prise en compte du régime végétarien et des allergies faites au même moment de la part des hôtes.

L'accueil est strict et l'ambiance restera très autoritaire le temps du séjour. Il y a un protocole et toute initiative des pèlerins et autres clients présents est vite court-circuitée : on se présente au tour des présentations, chaque sujet de discussion ou presque est commenté ou contré par les hôtes.
Un peu après notre arrivée, la maîtresse de maison fait le point sur les repas et confirme la prise en compte du repas végétarien en négociant la présence de lardons dans les flageolets. Sans plaisir affiché elle prendra toutefois la peine de cuisiner un plat sans viande face à mon insistance. Merci Madame.
Au moment du point repas sont également évoquées mes allergies au melon et à la pastèque.
Après une nuit glaciale (les 4 pèlerins de la chambrée se sont plaints du froid), 4 ramequins de confitures non-identifiables et non identifiées par l'hôtesse sont posées sur la table du petit-déjeuner.
Alors que je suis en train de tartiner ma tranche de pain, un pèlerin demande les saveurs. Il y en avait une avec de la pastèque (que j'étais en train de tartiner), une autre avec du melon. Les 2 les plus proches de moi. Aucun sourcillement ni aucune considération de la part de la maîtresse de maison qui, par sa négligence m'a littéralement mise en danger...
Quand on pose la question du chauffage, on nous répond qu'il est éteint et qu'heureusement il est contrôlé de chez eux.
Si l'économie se comprend aisément face à l'absence de limites de certains pèlerins, l'avarice elle n'a pas sa place sur le Chemin. Et au Relais de Pasturat tout a un prix, tout est compté et servi au minimum.

Alors oui, face à ce peu de considération des pèlerins accueillis, nous sommes partis sans dire au-revoir (nous ne reviendrons pas vous voir).

L'allergie à l'impolitesse revendiquée par le propriétaire lors de longs échanges de sms avec mon papa toute la matinée lui coûte certainement beaucoup d'inconfort au quotidien. Mais elle ne risque pas de mettre sa vie et sa santé en danger, contrairement à mon allergie alimentaire dont je prends toujours la peine de minimiser les risques en l'indiquant en amont.

Les pèlerins savent reconnaître les hôtes qui ont parcouru le Chemin à la qualité et la chaleur de leur accueil... l'esprit et l'expérience de la marche pèlerine ne sont clairement pas présents au Relais.
Si vous en doutez, il suffit de lire les réponses apportés aux avis relatants des expériences négatives.