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Restaurant authentique bistrot bonne franquette à terrasse à Aigues-Mortes
Ici, la bonne franquette est de mise ! Ce charmant petit bistrot d'Aigues-Mortes, animé par Coco, la patronne au caractère bien trempé, ne désemplit jamais. Elle régale les clients avec des plats simples mais savoureux, comme la fameuse tarte aux fraises, toujours en vedette. Côté spécialité, le taureau camarguais se décline sous toutes ses formes : côte, filet, pavé ou entrecôte. Et pour ceux qui préfèrent, les pizzas viennent compléter l'offre gourmande. Une adresse conviviale et chaleureuse à ne pas manquer ! Aux beaux jours, profitez de la terrasse.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur CHEZ COCO
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Le client a intérêt à consommer et régler rapidement son repas, en effet la rentabilité est le maître mot de ce restaurant…!!
4 rappels à l’ordre pour régler l’addition…!! Le dîner a duré 1h en tout et pour tout…!
À vos risques et périls …!!!
Le service est rapide. Les plas sont excellents. Le personnel est réactif souriant avec une pointe d'humour que l'on redemande....
Merci pour ce délicieux moment...
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Questions fréquentes :
Ce midi, vers 11h45, en pleine canicule, nous avons demandé s’il était possible de simplement nous asseoir en terrasse — sans service — afin de pouvoir donner le biberon à notre bébé en attendant l’ouverture de la cuisine. La réponse a été un refus catégorique : « avant midi, c’est impossible, le personnel est en pause », nous a-t-on dit. Même réponse automatique pour les clients arrivés juste après nous.
Je comprends parfaitement qu’une équipe ait besoin de sa pause, surtout par temps de chaleur. Ce que je ne comprends pas, en revanche, c’est en quoi le fait de simplement nous laisser nous asseoir — sans rien demander d’autre que de l’ombre — aurait pu déranger. La réponse du responsable, « c’est comme ça pour tout le monde », sonne creuse face à une situation qui méritait simplement un peu d’empathie. Donner un biberon à un bébé en pleine chaleur, ce n’est pas un caprice : c’est une nécessité, et un peu de bienveillance aurait suffi.
Nous ne remettons pas en cause la qualité de la cuisine — que nous avions adorée — mais cette réaction rigide, impersonnelle, probablement dictée par une affluence touristique assurée, nous a profondément déçus. Ce que nous avions perçu l’an dernier comme un accueil chaleureux s’est aujourd’hui transformé en une sensation d’indifférence.
Nous n’y retournerons pas, non pas pour ce qu’il y a dans l’assiette, mais pour ce qu’il manque désormais autour : l’écoute et la Gentillesse, probablement moins importantes en haute saison.