Cette crypte permet de profiter d'un panorama unique sur l'évolution urbaine et architecturale de l'Ile de la Cité
Vous profiterez d'un panorama unique sur l'évolution urbaine et architecturale de l'île de la Cité. En découvrant les bâtiments qui se sont succédé dans le cœur historique de Paris, de l'Antiquité au XXe siècle, le visiteur remonte le fil du temps. Quai du port de l'antique Lutèce, établissement de bains publics gallo-romains, restes médiévaux de la rue Neuve-Notre-Dame, tracés des égouts haussmanniens : le passé, l'antique, le médiéval et le classique sont à portée de main.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Réservez les Meilleures Activités avec Get Your Guide
Avis des membres sur LA CRYPTE ARCHÉOLOGIQUE DE L'ÎLE DE LA CITÉ
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
Trouvez des offres de séjours uniques avec nos partenaires
Questions fréquentes :

Visite faite en 5 minutes, je ne recommande pas du tout
Tres surprenant et captivant
A découvrir
- un antoninien de Gordien III, monnaie romaine très courante du IIIe siècle, est présenté comme "enseigne [médiévale] de pélerinage de Saint Hubert, collégiale d'Andenne, Belgique".
- deux méreaux sont présentés tête en bas, ce qui atteste l'absence de compréhension des oeuvres sélectionnées. L'un imite un châtel tournois, l'autre montre juste un grand M oncial couronné. Quand un château voit le sommet de sa tour planté dans le sol et quand le M couronné de la Vierge Marie devient un W écrasant une couronne renversée...
- les cartels utilisent les termes "recto" et "verso" pour des monnaies, alors que les termes numismatiques sont "avers" et "revers".
- le soi-disant "casque français de la Première guerre mondiale" est du modèle 1926.
- la pseudo "baïonnette dite "Rosalie" / L'épée-baïonnette est une arme blanche qui se fixe sur un fusil Lebel" est une baïonnette de Berthier. Par ailleurs ni la baïonnette du Berthier, ni la baïonnette du Lebel ne sont des épées-baïonnettes. C'est gênant parce que n'avoir aucun tranchant est, précisément, leur spécificité par rapport aux baïonnettes des autres belligérants et parce que l'abandon des épées-baïonnettes dit quelque chose de l'évolution des combats... Tout ceci sans aucune date.
- l'"obus" sans autre précision, ce qui fait penser a priori aux canons, est en réalité une épave d'obus de mortier qui a perdu son empennage et sa fusée.
- et sa croûte d'oxydation est qualifiée de "gangue de roche". Un obus fossile, donc !
Pour une expo toute petite qui a nécessité deux conservatrices en chef, va durer plusieurs années et fait l'objet d'une campagne d'affichage dans tout Paris, c'est beaucoup.