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Restaurant libanais à Paris proposant des plats de mezzés, de 3 grillades de viandes (agneau, poulet et bœuf).
Cette fois-ci on vous amène à la rencontre d'un restaurant libanais du 12e arrondissement. Depuis son arrivée à la fin de l'été 2017, Beyit Jedo ("Chez Papi") s'est fait une belle réputation. Il faut dire que le cadre - à la fois typique et moderne - a tout pour plaire, tout comme le personnel des lieux. On vous accueille avec le sourire et on vous propose de vous installer à une des tables de la jolie salle. Ici, tout est fait avec goût, des chaises colorées au mur bleu en passant par la vaisselle. La salle souvent remplie est de petite taille donc n'hésitez pas à commander votre repas à emporter. Nous avons eu la chance de pouvoir manger dans ce cadre chaleureux et avons commencé le repas par du flaidura, un mélange de poivrons et tomates qui fonctionne très bien avec le pain libanais, puis notre choix s'est porté sur une des assiettes de mezzés. L'assiette "Libanaise" était composée d'hommos, de moutabal (caviar aubergine), de taboulé, de warak inab (feuille de vigne), de samboussek (chausson à la viande et au fromage), de kébbé, de falafel et de trois grillades de viandes (agneau, poulet et bœuf). Une découverte bien gourmande qui mérite que l'on s'y attarde. Et si vous voulez rapporter un petit morceau de Liban à domicile, il vous est possible d'acheter des bouteilles de vins locaux sur place.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Avis des membres sur BEYIT JEDO
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :
Serveur agréable. Je reviendrai avec plaisir
Les portions sont vraiment généreuses !
J’ai mangé à ce restaurant avec des amis pour la première fois. J’ai commandé une assiette d’assortiment et eux des assortiments à partager. 15 minutes après eux j’ai eu la « maladresse » de demander à la serveuse si ma commande avait été pris en compte parce que j’avais tellement faim.
Entendre la dame en cuisine crier « bah elle n’a qu’à attendre et voir la jeune serveuse se faire hurler dessus pour une simple question à laquelle la réponse d’une manager bienveillante aurait pu être « c’est en cours, cela prend un peu plus de temps pour X raison » m’a bien dégoûtée alors que la salle était à 1/3 de remplissage pour justifier cela par le stress du rush.