Petit restaurant où les chefs ont été formés par de très grands de la gastronomie américaine.
Difficile de classer ce petit restaurant dans une catégorie bien définie. Le concept de Moko et Omar leur est propre. Ces deux-là ont un parcours atypique qu'il serait trop long à raconter mais sachez juste qu'elle fut un jour avocate à New York où elle a rencontré Omar. Ils ont été formés par de très grands de la gastronomie américaine, anglaise et française. A Paris c'est un ex du Sergent Recruteur et elle est une ex-pâtissière de Yam'Tcha. Leur endroit est comme eux, sans étiquette. Ils cuisinent ce qu'ils aiment : soupe de brocoli, pancetta et chou noir ou hoummos, épaule d'agneau de lait confite et poivrons fumés, etc. Nos papilles frémissent à chaque bouchée. Les cookies hyper croustillants sont top... Certains plats et gâteaux sont sans gluten.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur MOKONUTS
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.



Cher, voire limite indécent :
- Une entrée de labneh à 8€… très petite, agrémentée d’épices et de kale séché (sans doute pour justifier le prix). Pita mollement rechaufffé.
- Plats principaux (poulet et merlu) à 27€, très bien exécutés, mais en petites portions.
- verres de vin nature (bien évidemment) à 11€ le verre, on est à NYC ou à paris? Faut arrêter maintenant.
- De l’eau filtrée facturée 4€ – une pratique qui s’infiltre un peu partout et qui a le chic d’apparaître en douce sur la note finale. Le minimum serait d'annoncer: carafe ou eau filtrée?
Service :
20 couverts, 13 convives, donc loin d’être plein. Arrivés à l’heure (14h), commande à 14h10, entrée à 14h30, plat principal à 14h55 (montre en main). Pratiquement une heure d’attente.
L’endroit :
Assis sur des bancs en bois raides, collé-serré avec ses voisins. Pas de chauffage, fenêtre ouverte puisque la ventilation fonctionne mal, m’a-t-on dit. Les toilettes sont vetustes, et pour couronner le tout : des couches de poussière noirâtre sur les abat-jours et le ventilateur. On a compris le concept : c’est censé être casual, mais là, c’est négligé.

Le pain servi était une sorte de triste pita peu développée et découpée en petits bouts si peu généreux.
Je comprends que l’essentiel de la clientèle de Mokonuts soit constituée de touristes américains au palais se satisfaisant de peu, mais c’est si triste de voir une belle aventure devenir un semblant de cantine à touristes où le service expéditif en salle rappelle bien les pratiques anglo-saxonnes.
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Questions fréquentes :

Les chefs sont là de façon temporaire. On est souvent sur de la cuisine asiatique.
Les menus sont toujours de très bonne qualité