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Envie de vous amuser et de danser ? Nous avons l'adresse qu'il vous faut : le Monseigneur, institution bordelaise entièrement relookée en 2015 d'une nouvelle déco qui fera pétiller votre nuit de fête. Derrière ce nom se cache une discothèque où les fêtards aiment à se retrouver depuis plus de soixante-dix ans, et qui vous promet une folle soirée rythmée aux sons des années 1980 (même 1960 et 1970 les jeudis soir), rock, funk, parfois salsa. En cas de petite baisse d’énergie, les canapés sont très confortables pour siroter une coupe de champagne !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur LE MONSEIGNEUR
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :
C’est la raison qu’on nous a donnée. Sauf que ni leur site, ni leurs réseaux ne le précisent. Et surtout, on connaît l’endroit, on y a déjà été plusieurs fois, sans jamais avoir eu besoin de réserver.
Ce soir-là, on est deux : un mec et une fille. Et pendant qu’on nous refuse l’entrée, on voit d’autres personnes entrer sans souci — notamment plusieurs filles, tenues plus décontractées, pas de réservation, parfois même sans carte d’identité. Et pourtant, elles passent, avec un simple : “Je la ramènerai la prochaine fois.”
Nous ? Tenue correcte, carte d’identité prête, attitude irréprochable. Rien à faire. Le refus est sec, et la sélection très… ciblée.
Difficile de ne pas remarquer une différence de traitement. Discrète mais bien réelle. On ne crie pas au scandale gratuitement : on observe, on compare, on comprend.
Ce n’est pas la première fois qu’on entend parler de ce type de “tri”, mais le vivre, c’est autre chose.
Les videurs appliquent une politique, ok. Mais à un moment, il faut aussi que l’établissement assume ses choix. Quand la porte devient un filtre social ou racial même de manière feutrée ça en dit long.
On ne reviendra pas. Et on n’oubliera pas.
La honte d’être en 2025 et de se comporter comme des colons !