LE BORA BORA BY PEARL RESORTS - RELAIS & CHÂTEAUX
Bungalows avec sushi bar et spa dans un jardin tropical et sur le lagon de Motu Tevairoa.
Accessible par bateau, cet hôtel Relais & Châteaux propose 108 bungalows nichés dans un jardin tropical ou sur le lagon. Les bungalows jardin, élégants avec murs en bambou tressé et toit en pandanus, offrent un jardin privé avec palissade en bois, piscine et salon abrité. Ceux sur pilotis offrent un accès direct sur le lagon. Le cadre polynésien raffiné inclut 3 restaurants, 2 bars et le Tavai Spa, un lieu d'exception pour découvrir les soins traditionnels à l'huile de monoï.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Les points forts de cet établissement :
Avis des membres sur LE BORA BORA BY PEARL RESORTS - RELAIS & CHÂTEAUX
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.

Il paraît que la Justice est aveugle.
Mais ce qu’on ne m’avait pas dit, c’est qu’elle est aussi sourde, muette… et parfois complice.
Un avocat, ça défend. Trois avocats, ça se serre les coudes. Moi ? J’étais au milieu, sans bouclier.
Maître T. a délégué mon dossier sans prévenir.
“Normal”, m’a-t-il dit. Et en bonus : une facture d’un autre monde, avec des heures facturées comme s’il avait rédigé Guerre et Paix à la main. Des prestations interstellaires. Invisibles à l’œil nu.
Maître M. ? Elle a buggé dès que j’ai eu l’outrecuidance de lui… poser une question. Erreur système. Redémarrage impossible. Déconnexion immédiate.
Et puis, il y a Maître I., alias Icare-le-susceptible.
Il plane haut, très haut, surtout au-dessus des réalités du dossier.
Mais dès qu’il s’approche un peu trop du travail concret, il se brûle les ailes… et disparaît. Le summum ?
Il m’a reproché de lui avoir “mal parlé” (spoiler : je parlais juste normalement), et m’a lancé, très sérieusement : “Je ne veux pas être votre subordonné.” Rassurez-vous Maître, je ne comptais pas vous embaucher.
Je voulais juste… un avocat. Apparemment, c’était déjà trop.
Poser des questions, c’est mal vu. Mieux vaut rester bien sage, bien silencieuse… et surtout bien facturée.
C’est plus confortable. Pour eux.
Les autres ? Silence radio. Ou envolés en vacances, pile quand ça chauffe.
Le tout dans une ambiance de confraternité où la moindre critique provoque une levée de boucliers digne d’un congrès corporatiste.
Et quand j’ai osé demander des comptes ?
Réponse glaciale : “On ne travaille pas sous pression.”
(Moi non plus, mais j’y suis quand même.)
Je pensais trouver des avocats. J’ai découvert un club fermé, allergique à la contradiction, mais très ouvert… aux virements bancaires.
“Enfin, vint Maître C…” Maitre C, vous portez haut la casaque de tête dans le classement des manquements professionnels que j’ai pu rencontrer.
Et pourtant, la concurrence était rude. Mais vous avez su vous distinguer avec une constance et une précision qui mériteraient presque les honneurs… du bâtonnier.
J’ai cru un instant que Maître C. me tendait la main. En réalité, elle me l’a tendue… pour mieux me faire tomber. Certains vendent leur âme au diable. D’autres, apparemment, la louent à l’heure d’audience — tarif horaire, frais d’honoraires compris. Next.
Et puisqu'il ne faudrait pas tout dire, glissons tout de même un mot sur Maître B. avocate de la partie adverse. Il semble qu'elle ait oublié un léger détail dans sa défense : j'ai été agressée. Gravement. Comme tant d'autres femmes.
Ce n'était pas un simple point de procédure, ni une ligne dans un dossier.
Cétait ma vie. Ma dignité.
Mais je lui pardonne.
Après tout, même la chute la plus indifférente reste humaine...
Ne dis-ton pas, d'ailleurs, que l'horreur est humaine ?
À l’évidence, nul n’est tenu ici d’agir avec loyauté ou transparence : la bonne foi n’est plus une condition, mais une option facultative, commodément écartée lorsqu’elle gêne une stratégie.



Personnel chaleureux...
Emplacement idyllique...
Le bungalow sur pilotis est resplendissant. C'est waouh