Une institution mondialement connue pour ses omelettes, qui se déclinent selon plusieurs propositions : à tester sans hésiter !
On ne changera pas d'avis : y aller au moins une fois reste un incontournable ici. L'histoire bien connue d'Annette Poulard, aubergiste qui, au XIXe siècle, servait aux pèlerins des omelettes qui ont fait sa réputation, se poursuit aujourd'hui. Le lieu est vaste et décoré des photographies dédicacées des centaines de personnalités venues ici dans le restaurant. Car ici, on vient pour l'omelette : inutile de tenter de percer le secret de celle-ci, il est bien gardé. Différents menus sont proposés, le prix d'appel est certes élevé, mais le repas vaut le coup.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur La Mère Poulard
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.
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Questions fréquentes :

L’addition est salée, mais ça on le sait d’avance, donc il n’y a pas tromperie.
Alors quoi ?
Alors il y a ce quelque chose de trop ou de pas assez, de fatigue, comme un air de lendemain de fin de règne.
Les plâtres fatigués, les vitres non lavées, le salon de l’étage fermé en raison de la pénurie de personnel, les bords de marches d’escalier qui se décollent...
Il semblerait que l’étendard du Mont se fasse le symbole de ce que le lieu dans son ensemble est devenu.
Il y a certes toujours cette architecture fascinante, ces ruelles tellement typiques, mais aussi ces musées qui s’endorment, ces marchands malaimables, cette sensation de faire partie d’un spectacle éculé.
Comme si ceux qui œuvrent là ne méritaient plus la chance qu’ils ont, tout occupés à faire fructifier leur business sans se préoccuper de leur bien.
C’est très étrange, on dirait un naufrage consenti.
Rien n’est perdu, mais il est grand temps.
La Mère Poulard est un peu le thermomètre du site, et la température monte, monte...