Cet ancien village de pêcheurs aux maisons blanches et aux volets verts est devenu le troisième pôle touristique de l'île. Dont l'expansion ne semble pas devoir s'arrêter, même si elle se fait plus dans l'espace qu'en hauteur. Si le front de mer donne toujours de jolies vues sur l'île aux loups, au lointain, il est malheureusement totalement urbanisé avec une succession de bars et de restaurants plutôt enclins aux surgelés. Avec de multiples cadenas laissés par les touristes sur les rambardes du bord de mer. On y trouve encore quelques criques et plages isolées, dont celle de Papagayo, l'une des plus belles, mais sa superficie se réduit régulièrement.