MUSÉE DES TEMPS BARBARES
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Voilà un musée des plus passionnants. Un arrêt indispensable qui captivera les petits comme les grands. Site unique en France, le musée s'intéresse à une période qui s'étend du Ve au VIIIe siècle. L'ambiance du lieu est particulière et le visiteur s'imprègne bien rapidement de cette époque méconnue. Le musée des Temps barbares montre des trésors archéologiques, découverts il y a plus de 25 ans sur le territoire de Goudélancourt-les-Pierrepont. Une nécropole de 400 tombes et de plusieurs habitations isolées y avait été découverte. Aujourd'hui, des reconstitutions sont proposées et on apprécie les nombreux panneaux explicatifs qui guident les visiteurs au cœur de l'Histoire. Profitez de l'immense parc qui accueille le village des Francs, où régulièrement, de grands évènements s'y déroulent, comme la semaine Viking ou le week-end Romains et Barbares. Des combats vous seront présentés : grand spectacle assuré !
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Avis des membres sur MUSÉE DES TEMPS BARBARES
Le weekend, du XXVII et du XXVIII lunius, Le Musée Des Temps Barbares vécu au temps de l'antiquité lors du VIIIème festival international d'Histoire Vivante sur le thème d'un triomphe en l'honneur d'Hadrien. Pour l'occasion, pas moins de 400 figurants vinrent à Marles depuis tout l'empire, notamment de Germanie et de Britannie.
Avant d'entrer dans l'arène, il fallut d'abord s'acquitter d'un droit de passage de X sesterces. Le temps était magnifique, le soleil haut perché. Il n'y avait aucun danger que le ciel ne nous tomba sur la tête par Toutatis ! Un peu partout, étaient dressées des tentes à l'intérieur desquelles, des marchands vendaient de l'hydromel, des amphores, des épées, des bijoux et même de la cervoise bien fraîche sous le châpiteau de la buvette.
Sur les cadrans solaires, il était indiqué presque XIV heures, les festivité commencèrent par un concert antique rythmé au son d'un orgue à eau. Ensuite, se sont des cavaliers à chevaux, des légionnaires, qui montrèrent leur savoir-faire, magnant avec dextérité leurs armes sous le poids de leur imposante cuirasse.
Enfin, les tant attendus gladiateurs s'affontèrent sans retenue et à etendre les chocs des coups portés, je me dis un instant "qu'ils étaient vraiment fous ses romains".
Je ne peux vous dire si toute cette histoire se termina autour d'un grand banquet avec du sanglier rôti, je du quitter les lieux avant la fin du spectacle, parce qu'il me fallut rentrer en charette à Lille.