Restaurant dans un havre de paix servant une cuisine créative et exigeante, représentative aussi du terroir lot-et-garonnais.
Florent Saint-Marc, maître restaurateur, vous reçoit face à la place du marché dans un havre de paix bordé de verdure et de vieilles briques. Le service est à l'écoute et réactif. Mi-brasserie, mi-gastro, ce restaurant se place dans la droite lignée de la cuisine française protocolaire décomplexée. Créative et exigeante, les recettes du chef emportent l'adhésion : les encornets en salade et panna cotta au jambon en tartelette, le jarret de veau à la truffe noire et la tartelette coco et sa ganache chocolat constituent de savoureuses illustrations.
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur L'Ô À LA BOUCHE
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.

A recommandé

Sie müssen nicht weiterrecherchieren, beides ist in der tschetschenischen Küche gänzlich unbekannt.
Die Bedienung ist aufmerksam und professionell, die Zutaten von Qualität und die Zubereitung solide mit einem gewissen Maß an kreativer Ambition. Nicht günstig aber einen Besuch wert.


Un service impeccable et un cadre sympathique.
Je recommande ce restaurant !
Questions fréquentes :

À l’arrivée du plat, il est visiblement trop cuit, ni rosé ni saignant. Je le signale calmement. Elle repart avec l’assiette et revient quelques minutes plus tard, pendant que mon invité a dû entamer son repas seul. Elle me rapporte le magret en affirmant que « le chef dit que c’est comme ça qu’on mange le magret ». Surpris par tant d’aplomb, je réponds que je ne peux pas manger une viande trop cuite. La serveuse, gênée, emporte le plat sans un mot. Je me retrouve donc sans assiette, ce qui est contraire à toutes les règles de savoir-vivre et de service.
Rien ne se passant, je demande à la serveuse ce qu’il en est. Elle m’explique que le chef a gardé l’assiette puisque je ne veux pas la manger. Je demande à voir le responsable : il est absent. Je demande alors à voir le chef.
Ce dernier, Monsieur Saint Marc (je découvrirai son nom plus tard), surgit de la cuisine, furieux, sans saluer : « C’est vous qui ne voulez pas manger le magret ? » Je réponds que la cuisson n’est pas conforme à ma demande. Et là, commence une scène ahurissante :
« Un magret ne se cuit pas rosé, il faut dire saignant ! »
Je proteste : « Monsieur, je mange du magret depuis 60 ans, je l’ai toujours demandé rosé. »
Il rétorque : « Ce n’est pas un canard classique, c’est un magret de canard gras. »
Je rappelle avoir déjà mangé chez lui un magret rosé, sans problème. Pour clore l’échange, il me demande d’où je viens.
« De Paris. »
S’en suit un rire gras et moqueur : « Ah ! Un Parisien, évidemment ! » Il tourne les talons.
Je réponds que les Parisiens ne sont pas plus bêtes que les autres.
« Vous ne connaissez rien à la viande, vous voulez juste faire les malins ! »
Et d’ajouter : « Et ce n’est pas parce que vous ne le mangez pas que je ne vais pas vous le facturer. »
Je règle malgré tout le repas. Le chef avait même fait préparer une boîte plastique avec le magret trop cuit. Évidemment, je ne l’ai pas prise.
Avant de quitter les lieux, il ressort pour s’assurer du paiement, me gratifiant une dernière fois de ses sarcasmes sur « les Parisiens qui ne savent rien ».
À fuir absolument : un chef mal embouché, arrogant, et tout sauf restaurateur.