Avis CLUB DES POÈTES Paris

Un immense merci au Club des Poètes pour cette soirée inoubliable !
L’atmosphère est absolument unique — poétique, chaleureuse, hors du temps.
Le dîner était délicieux : le bœuf bourguignon fondait dans la bouche, et la saucisse aux lentilles était tout simplement parfaite.
Un lieu rare à Paris, où l'on nourrit à la fois le corps et l’âme.
Je reviendrai avec grand plaisir !

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Le joyau de Paris.
Le berceau de la beauté.
L'humanité bienveillante.
Le remède aux maux.
L'art vivant.

À oui ! On y mange bien aussi.
(J'y cuisine)

Le propriétaire prend en photo les femmes pour les diffuser sur les réseaux sans le consentement concernées.

Une bulle dans la ville

Excellent experience and atmosphere

Bon restaurant caché dans le 7eme, mais encore plus intéressant pour l’expérience. Le récital de poème à partir de 21h vaut vraiment le coup, merci aux personnes qui se donnent pour les réciter, notamment le patron et son fils, ainsi que les volontaires. Cela crée une expérience unique en son genre, je n’hésiterai pas à y retourner et le le conseillerai sûrement à des amis.
Aux personnes ne lisant pas de poème, ce restaurant peut vous en donner envie.

Quelle auberge conviviale et chaleureuse, où les vers planent entre les verres, où les mots délicent les oreilles et font palpiter les neurones, Blaise en guide, les habitués ou visiteurs de passages invités à se rencontrer, à partager, à dire du beau, par cœur, du qui-touche-au-plus-profond, pour les cœurs.
Merci pour ces merveilleux moments.

Quite cute place, they now have gypsy jazz session on Sunday afternoons

This place was my most beloved discovery while I was living in Paris.
A little pocket to warm my hands in, a nest to invite friends to, a family who doesn't know my name but always welcomes me back.
You get a glass of red wine, a clafoutis, you close your eyes and dip your ears into the soft and attentive conversations around you. You can tell from their voice that they're smiling. Suddenly, the lights go out, the bartenders put candles on all the tables, and a person steps in front of the bar, their eyes in the undefined void behind you; they start reciting a poem.
This place itself, the community, its history is poetry on its own.

Это было круто Я просто шёл мимо и увидел на дверях надпись джаз попросил зайти и получил 10 минут кайфа это просто бомбический

Tout simplement mon endroit préféré à Paris, je le fais découvrir à tous ceux que je connais et j’en parle sans cesse autour de moi. L’ambiance y est chaleureuse, bienveillante et unique, et les poèmes récités sont magnifiques et variés. Chaque fois que j’y vais, je suis transportée et enchantée, comme tous ceux à qui j’ai fait découvrir ce lieu magique. J’espère que cette institution ne fermera jamais ses portes. Merci à tous ceux qui la font vivre !

Le Club des Poètes : Un havre de paix pour les amoureux des mots
Niché au cœur de Paris, au 30 rue de Bourgogne, le Club des Poètes est un véritable écrin pour les passionnés de poésie. Ce lieu chargé d'histoire, à l'atmosphère intimiste et chaleureuse, transporte ses visiteurs dans un univers hors du temps.
Un voyage poétique
Dès l'entrée, on est saisi par l'authenticité des lieux. Le décor, un peu désuet, rappelle les cabarets littéraires d'antan. Les murs sont tapissés de portraits de poètes, et l'ambiance feutrée invite à la rêverie. Les soirées poétiques, organisées régulièrement, sont l'occasion d'écouter des récitals de poèmes, de participer à des ateliers d'écriture ou simplement de partager un moment convivial avec d'autres amoureux des mots.
Une cuisine simple mais authentique
La cuisine du Club des Poètes est simple et généreuse, à l'image de l'endroit. On y vient surtout pour l'ambiance et les rencontres, mais les plats proposés sont de qualité et préparés avec des produits frais. La carte change régulièrement, en fonction des saisons et des inspirations du chef.
Un accueil chaleureux et authentique
Le patron, véritable passionné de poésie, accueille ses clients avec une chaleur et une simplicité désarmantes. Il est toujours prêt à discuter de littérature, à partager ses coups de cœur et à faire découvrir de nouveaux talents.
En résumé
Le Club des Poètes est bien plus qu'un simple bar ou un restaurant. C'est un lieu de vie, un espace de création et de partage, où la poésie est reine. Si vous cherchez un endroit où vous ressourcer, échanger et vous laisser porter par les mots, ne manquez pas de venir pousser la porte de ce lieu unique.

Un établissement à la hauteur de sa réputation, d’une authenticité rare

J’ai découvert ce lieu il y a 6 ou 7 ans, grâce à un ami qui m’avait dit qu’existait au cœur de Paris un Club où des passionnés de poésie déclamaient des vers par centaines, qu’ils connaissaient par cœur, parfois jusqu’au bout de la nuit. J’étais curieux de rencontrer les personnes qui animaient ce Club, car ils partageaient visiblement cette conviction que nous avions faite nôtre dans le petit cercle de poésie que nous avions fondé, à savoir que pour donner au mieux un poème au public, il faut qu’il habite notre âme, qu’il réside dans notre cœur le plus longtemps possible, qu’il soit ruminé semaine après semaine, mois après mois, et donc, qu’il soit précisément mémorisé.
Je me rendis au Club, et je fus comblé bien au-delà des mes espérances. Le 30 rue de Bourgogne est un endroit tout simplement magique. Passé la lourde porte en bois, on entre dans un univers où le temps semble s’être arrêté. On se sent un peu dans la peau d’Owen Wilson dans « Minuit à Paris », campant un petit écrivain du XXIe siècle qui par un coup du sort fantastique se retrouve nez à nez avec Hemingway, Scott Fitzgerald ou Jean Cocteau dans le vieux Paris des années 1920, et qui se met à parler avec eux, avec liberté, avec amitié. Plus d’Internet ni de téléphone : rien ne passe derrière la lourde porte ! Des discussions à bâtons rompus avec les habitués de ce Club, jeunes en général, et tellement ouverts ! On vous propose d’abord de dîner ; on ne vous apporte pas une carte, un menu, car il n’y en a pas. Comme dans une bonne auberge d’antan, on vous dit ce qu’on a préparé pour vous et vous levez la main pour commander qui une soupe de potiron, qui une quiche lorraine, qui un bœuf bourguignon… Après le dîner, les lumières s’éteignent et « on entre en territoire de poésie », comme dit Blaise Rosnay, qui nous parle de l’histoire du Club et de la figure de Jean-Pierre Rosnay, son père, poète résistant, et qui est encore l’âme de ce lieu. Une incroyable qualité d’attention, qu’on aurait eu peine à deviner après un dîner toujours joyeux et bavard, s’installe alors. Les poèmes s’enchaînent jusqu’à tard dans la nuit ; la qualité des récitants est souvent bluffante, et l’ambiance est bon enfant : un débutant qui se lance, hésitant, sera toujours encouragé avec bienveillance et gentillesse par les habitués. Je ne connais aucun lieu comme celui-ci, qui sache réunir des personnalités aussi différentes, et sait rapprocher, et parfois profondément, des gens aux horizons, origines sociales, religions, métiers ou opinons politiques aussi divers voire opposés, qui ne se seraient jamais adressé la parole dans d’autres circonstances. Nous sommes reliés par quelque chose de commun : une poésie qui parle à l’âme.
Je suis très admiratif de ce que Blaise Rosnay a su faire de l’héritage de son père : un lieu d’accueil, de communion, de légèreté, de joie. Il est animé d’une véritable vocation, presque « monastique » : quels sacrifices il faut faire pour ouvrir quasiment sans vacances ce lieu toutes les nuits 5 jours sur 7 !
Jean-Pierre Rosnay avait l’ambition de « rendre la poésie contagieuse et inévitable ». Comme je me reconnais dans cet ordre de mission ! Merci, Blaise, d’avoir si souvent accueilli notre petit Collège de Tess, dont tu ne partages pourtant pas toutes les valeurs, pour des récitals dans ton Club des Poètes que nous chérissons tant.
Vous m’avez compris : ce lieu est tout simplement une expérience fabuleuse, unique, à faire au moins une fois dans sa vie !

J’ai découvert le Club des Poètes il y a six ans, dans le 7e arrondissement. Un soir affamée, à 23h, j’ai entendu des applaudissements éclatants derrière une porte en bois, dissimulée par un échafaudage. Curieuse, j’ai osé toquer, et une main amicale m’a invitée à entrer dans un lieu hors du temps, baigné par la douce lumière des bougies. Là, j’ai découvert une alchimie poétique vivante. Les vers s’enchaînaient, partagés par des âmes venues de partout, de tous âges, de tous pays. J’y ai goûté une part de tarte poire amandine, un délice sucré comme l’amitié. Depuis, je reviens assidûment, parfois moins souvent. C’est un sanctuaire où les passionnés de littérature, de peinture et de musique se retrouvent. A l’intérieur, il n’y a pas de réseau, juste le charme de l’humanité qui se rencontre, discute et se lie. Jamais je n’ai trouvé un autre endroit pareil à Paris. La bienveillance règne ici comme un doux parfum. J’y ai toujours passé des moments précieux, des souvenirs que je chéris. Chaque poème récité, chaque mot partagé, m’a transportée au-delà du quotidien : des poèmes d’amour, d’amitié, de fraternité, des vers absurdes ou drôles, des questionnements profonds; qui m’ont fait tantôt rire, tantôt pleurer. Chez les Poètes, on respire l’humanité à pleins poumons. Après cinq ans en spectatrice, j’ai osé monter sur scène pour réciter mon premier poème. C’était un moment de magie pure. Depuis, je continue à fréquenter le Club des Poètes. Un immense merci à Blaise, qui continue à faire vibrer et rassembler toutes ces âmes autour de la poésie. Merci à lui et à tous les poètes !

Lieu merveilleux et d’une autre époque, c’est chaleureux, accueillant, on s’y sent comme à la maison, les poèmes et leurs interprètes touchent le fond de l’âme. Bref, addictif !

Un lieu intemporel, qui traverse les générations et où il fait bon partager un petit plat fait maison avec un verre de vin en compagnie d’amis ou de parfaits inconnus.
À partir de 21h, chacun partage, comme un cadeau, les poèmes qu’il ou elle a dans son coeur. Pendant les pauses on peut débattre du secret de la situation politique, on échange nos secrets pour rendre la poésie contagieuse et inévitable, on se ressert un verre, on parle traduction, théâtre, on se dit qu’il faudrait peut-être rentrer mais on est tellement bien qu’on reste jusqu’à pas d’heure.
On repart heureux, le coeur gonflé d’impressions et de verbes. Finalement on connaît les poètes préférés de tous ces inconnus, on en apprend un peu sur nous, on grandit avec le club, on remercie Blaise et tous les amis de faire vivre ce lieu si unique. On passe ensuite les jours suivants à apprendre un nouveau poème et on y retourne !

Un lieu unique à Paris !
Une bulle poétique indispensable.
Un lieu d'ouveture et de rencontres.
Attention toutefois ça peut être addictif, à consommer sans modération!!

Très déçu par ce lieu saint où l'on dit la poésie avec comme ligne conductrice un ton monocorde de premier de la classe. Le gérant affiche un mépris extraordinaire pour ce qu'il ne comprends pas et n'hésite pas à faire part de son opinion étonnemment simpliste sur l'art. Il prend ainsi vocation dans ce lieu de professeur en approuvant ou désapprouvant la manière dont les clients disent les poèmes. Or il approuve quand on dit les poèmes comme lui, c'est à dire respectueusement, comme on prie à l'église, et toujours sans originalité, défiance, personnalité ou humour. Ainsi il s'entoure d'une cour de jeunes êtres impressionnables, en quête d'identité artistique mais, ivre de son pouvoir, il les égare loin de toute vraie créativité. Le bœuf bourguignon était par contre très bon.

Un endroit unique au monde, merci à ceux qui le font vivre et l'ouvrent avec autant de simplicité.

A la lueur des bougies, un chant soudain s'élève. Quelques mots dans la pénombre partent du cœur pour réjouir l'assemblée fraternelle. Le monde s'est tu pour écouter la parole du poète. Parole ouverte et vivante qui résiste à tout ce qui menace la liberté. Un lieu magique, essentiel, inévitable.

Pour ceux qui ne connaissent pas ce lieu, il a été fondé en 1961 par le père du chef, Jean-Pierre Rosnay, ancien de la Résistance et des maquis qui après la guerre a décidé de consacrer sa vie à rendre la poésie " contagieuse et inévitable ", car elle est " le contre poison d'une existence qui tend à faire de nous des robots ". Un discours liminaire que vous entendrez mot pour mot tous les soirs, avant le récital. Ceux qui sont curieux viennent à19h, manger un bœuf bourguignon sous des formes changeantes, une tarte aux légumes, ou une salade de chèvre chaud et une tarte au chocolat parmi mes humbles recommandations. Ensuite, place à la magie, au cœur du club, place aux habitués aussi qui poussent la porte juste pour la poésie. Tradition de tous les temps et tous les pays, jeunes poètes de grand talent, grands noms de la langue française : quelles que soient les périodes on aura tendance à retrouver Hugo, Rimbaud, Apollinaire, Cendrars, Aragon. En fin de soirée vient la porte ouverte aux nouvelles voix, curieux d'un soir, premiers venus : le club est bienveillant, n'ayez pas peur. Le club, il faut le connaître, tomber dedans comme on tombe amoureux, s'y faire des copains comme on s'en fait à l'école, et il faut aussi simplement parfois y manger un bœuf bourguignon comme on en mange un dimanche chez tonton.

Le club des poètes est le lieu que je chéris le plus dans tout Paris. Blaise, fils du merveilleux poète Jean-Pierre Rosnay, y perpétue la tradition poétique, en y organisant des soirées plusieurs fois par semaine.
L’esprit du lieu est resté intact depuis sa création il y a plus de 60 ans. C’est selon moi le seul endroit où la poésie est aussi vivante, aussi «contagieuse et inévitable » pour reprendre les mots du fondateur.
A découvrir de toute urgence !

Lieu hors du temps où des gens de tous pays, de tous les âges , dans toutes les langues récitent par coeur des poèmes pendant toute la soirée. Éblouissant !

Merveilleux endroit où Blaise, ( le fils du créateur du lieu, le poète Jean-Pierre Rosnay) en monsieur royal de la poésie, organise chaque soir des instants inoubliables ou seule la qualité compte.

Un spectacle interactif à vivre 5 fois par semaine.
Je recommande, je recommande et re- recommande.

Petit plus non négligeable.
Avant la soirée qui commence aux alentours de 21h, on y mange très bien.

Lieu merveilleux où l’on est transporté dans la beauté et sensibilité des poètes. L’ambiance est enchanteresse et hors du temps. Il faut y venir aussi souvent que faire se peut

Amoureux de Verlaine, Rimbaud, Baudelaire, Hugo... , le CLUB DES POETES , maison qui fait office de restaurant, vous accueille ! Et , entre deux bouchées de petits plats faits maison, et . . . la boisson des poètes : le vin ! je recommande CHAUDEMENT aux amoureux de littérature et . . .aux gourmets !