Chez Boumaï, la bistronomie prend des accents d'ailleurs : une cuisine créative où le Périgord rencontre le monde avec gourmandise.
Au restaurant Boumaï, Audrey et Enzo vous proposent une expérience culinaire à la carte, mêlant les saveurs d'ici et d'ailleurs. Originaire de La Réunion, la Cheffe Audrey puise son inspiration dans ses voyages en Asie du Sud-Est et en Australie pour réinventer les trésors du Périgord. Sa cuisine bistronomique, à la fois créative et réconfortante, sublime les produits locaux et de saison avec audace. Chaque mois, une carte renouvelée invite à la découverte de nouvelles associations gourmandes, sincères et généreuses. Une belle adresse à découvrir assurément !
Le saviez-vous ? Cet avis a été rédigé par nos auteurs professionnels.
Avis des membres sur BOUMAÏ
Les notes et les avis ci-dessous reflètent les opinions subjectives des membres et non l'avis du Petit Futé.


Un accueil extrêmement sympathique
Audrey et Enzo vous proposent un très bon moment


Allez y sans hésiter !!
Questions fréquentes :

Il y a des tables qui ne se contentent pas de nourrir. Elles racontent. Boumaï fait partie de celles-là.
Derrière ce nom chantant inventé par sa fille, Audrey Anasse a bâti un lieu à son image : vibrant, chaleureux, généreux. Issue de la Réunion, enrichie par l’Asie du Sud-Est et l’Australie, la cheffe insuffle à chaque assiette l’âme d’un carnet de voyage.
Reçus avec humour et bienveillance dans une salle au charme discret et soigné, nous nous sommes laissés porter, curieux et impatients, merci Monsieur.
En entrée, la Dorade en gravlax ouvrait le bal avec finesse : sa marinade orange Spritz, sa vinaigrette à l’orange sanguine et cette touche inattendue d’huile de cacahuète composaient une alliance fraîche et audacieuse, entre agrume et onctuosité. Le Falafel, quant à lui, revisitait la tradition orientale avec grâce : pois chiche, cumin, tahini et yaourt s’entremêlaient, rehaussés par la menthe, la grenade et la coriandre, pour une bouchée croquante et parfumée.
Puis vint la Raviole de langoustine, plat-signature somptueux. Un écrin de pâte délicate, garni d’un mélange subtil de crabe, ricotta, fenouil et anis. La crème aux poivres de Timut et de Sichuan dansait en bouche, et l’émulsion de crustacé offrait une fin iodée, presque mystique.
En suggestion, la raviole de cochon confit au curry, non inscrite à la carte, fut une révélation : le fondant de la viande longuement mijotée, enveloppé dans une pâte soyeuse, baignait dans un curry équilibré, où les épices venaient chatouiller le palais avec une rondeur parfaitement maîtrisée.
Chaque plat était un voyage. Une cuisine sincère et intuitive, portée par l’amour du détail et le respect des produits.
Boumaï, c’est plus qu’un restaurant : c’est un carrefour de cultures, une déclaration d’amour à la cuisine du monde. On y entre curieux, on en ressort touché.