Quelques précautions à prendre
A l'instar d'autres grandes villes d'Amérique latine, Quito expose ses visiteurs à certains risques et dangers qu'il est toutefois possible de contourner. Que ce soit dans le quartier de la Mariscal ou dans la vieille ville, rôdent de rusés pickpockets.
Dans la rue, parmi les arnaques les plus courantes, il faut citer celle du ketchup. En pleine flânerie, vous risquez d'être touché, dans le dos ou sur l'épaule, par un projectile de ketchup (ou autre sauce grasse). Dans la seconde qui s'ensuit, vous verrez débarquer une « âme charitable » très présentable qui vous proposera gentiment de l'aide. Généralement, la plupart des touristes enlèvent leur sac à dos/à main pour pouvoir nettoyer la tâche et c'est alors qu'ils sont dépouillés. Ne faites confiance à personne, et ne vous baladez pas sans accompagnement une fois la nuit tombée. Des vols avec usage de médicaments ou de drogues ont également été reportés, tels que le fameux « Souffle du diable » (scopolamine) qui provoque des hallucinations délirantes et soumet la victime à son agresseur. Ne touchez pas des objets ou papiers tendus par des inconnus et surveillez vos verres, sans tomber dans la paranoïa, car la plupart du temps, le voyage se passera sans encombre !
Dans le trolebus, le bus ou le metrobus, méfiez-vous des voleurs. Ne prenez jamais sur vous toutes vos économies, laissez à l'hôtel vos objets de valeur, cachez votre appareil/caméra dans un sac et ne portez aucun bijou de valeur. De manière générale, essayez de garder vos affaires personnelles sur vos genoux. Surtout de nuit ! Vous remarquerez que même les locaux mettent leur sac à dos sur l'avant lorsqu'ils attendent le bus...
Il est recommandé de héler un taxi officiel reconnaissable de la manière suivante : voiture jaune portant la mention « coopérative de taxi » avec un numéro d'immatriculation inscrit sur la portière et le toit du véhicule. Attention où vous vous baladez le soir. Dès la nuit tombée, il est généralement conseillé de prendre un taxi ou un VTC pour sortir. Appeler un taxi depuis son hôtel, depuis un restaurant ou bien vérifier qu'il s'agit bien d'un taxi officiel.
Quelques précautions à prendre
A l'instar d'autres grandes villes d'Amérique latine, Quito expose ses visiteurs à certains risques et dangers qu'il est toutefois possible de contourner. Que ce soit dans le quartier de la Mariscal ou dans la vieille ville, rôdent de rusés pickpockets.
Dans la rue, parmi les arnaques les plus courantes, il faut citer celle du ketchup. En pleine flânerie, vous risquez d'être touché, dans le dos ou sur l'épaule, par un projectile de ketchup (ou autre sauce grasse). Dans la seconde qui s'ensuit, vous verrez débarquer une « âme charitable » très présentable qui vous proposera gentiment de l'aide. Généralement, la plupart des touristes enlèvent leur sac à dos/à main pour pouvoir nettoyer la tâche et c'est alors qu'ils sont dépouillés. Ne faites confiance à personne, et ne vous baladez pas sans accompagnement une fois la nuit tombée. Des vols avec usage de médicaments ou de drogues ont également été reportés, tels que le fameux « Souffle du diable » (scopolamine) qui provoque des hallucinations délirantes et soumet la victime à son agresseur. Ne touchez pas des objets ou papiers tendus par des inconnus et surveillez vos verres, sans tomber dans la paranoïa, car la plupart du temps, le voyage se passera sans encombre !
Dans le trolebus, le bus ou le metrobus, méfiez-vous des voleurs. Ne prenez jamais sur vous toutes vos économies, laissez à l'hôtel vos objets de valeur, cachez votre appareil/caméra dans un sac et ne portez aucun bijou de valeur. De manière générale, essayez de garder vos affaires personnelles sur vos genoux. Surtout de nuit ! Vous remarquerez que même les locaux mettent leur sac à dos sur l'avant lorsqu'ils attendent le bus...
Il est recommandé de héler un taxi officiel reconnaissable de la manière suivante : voiture jaune portant la mention « coopérative de taxi » avec un numéro d'immatriculation inscrit sur la portière et le toit du véhicule. Attention où vous vous baladez le soir. Dès la nuit tombée, il est généralement conseillé de prendre un taxi ou un VTC pour sortir. Appeler un taxi depuis son hôtel, depuis un restaurant ou bien vérifier qu'il s'agit bien d'un taxi officiel.
Ville coloniale
La vieille ville regorge de merveilles ! Une quarantaine d'églises et de chapelles, une quinzaine de couvents et de monastères, et autant de petites places et parvis, de salles capitulaires et de réfectoires. Il y a aussi plus d'une dizaine de musées, une vaste collection de maisons de légende et une activité incessante qui transforme chaque coin de rue en lieu de vie. Le centre historique, classé au patrimoine culturel de l'Humanité par l'UNESCO le 8 septembre 1978 est dépositaire d'une histoire encore plus ancienne que celle de ses édifices. Située au cœur de la ville, détruite et reconstruite à plusieurs reprises au cours des siècles, l'ancienne capitale du royaume de Quito et des civilisations précolombiennes témoigne de la splendeur de l'Amérique latine baroque, mélange d'influences espagnoles et flamandes. Ses racines indiennes sont encore ancrées dans la ville et ce métissage fait son charme. Différents styles d'architecture datant de la fin du XVIe siècle aux dernières décades du siècle passé, se déploient dans le centre historique. Nobles demeures aux murs blancs et aux toits de tuiles et à l'allure andalouse, églises et anciens couvents foisonnant d'œuvres d'art religieux, rues pavées en zigzag, cafétérias traditionnelles, places animées, patios secrets et ombragés, hautes murailles protégeant de vieilles bâtisses, la vieille ville se dévoile un peu plus à vous à mesure que vous flânez dans les rues de la ville. Les rues du quartier colonial ont deux noms, on peut donc vous indiquer l'un ou l'autre. Pas de problème cependant, on trouve les plaques avec les deux noms à chaque angle de rue (esquina). Tous les dimanches, le centre historique est piéton, entièrement fermé à la circulation automobile : c'est le moment idéal pour découvrir les joyaux architecturaux de la vieille ville.
Ville moderne
Zona Norte. Les zones résidentielles, commerciales et d'affaires occupent le nord de l'agglomération. Avec son quartier d'affaires hérissé de hauts buildings à l'architecture futuriste, parois de verre et lignes audacieuses ; ses centres commerciaux à l'américaine où le dollar est roi au même titre que les enseignes internationales ; sans oublier ses rues commerçantes animées ! Bref, la ville moderne a des airs de grande ville européenne, mais dont le pouls colle bien au rythme sud-américain.
Le quartier de la Mariscal, traversé par l'avenida Amazonas, concentre la majorité des établissements destinés aux touristes : hôtels, agences de voyages, bars et discothèques, notamment autour de la plaza Foch, récent complexe ultra moderne. Cela lui vaut d'ailleurs le surnom de « Gringolandia » (pays des gringos !) tant le quartier leur est dédié. Le panel d'hébergement est large dans la Mariscal, plus que dans la vieille ville, même si cette option sera pourtant privilégiée par les voyageurs en quête d'authenticité. Attention, ce quartier a beaucoup changé pendant la pandémie et à ce jour il est difficile de prédire son avenir. En juin 2021, il était déserté, voire dangereux, mais le retour des touristes internationaux devrait lui permettre de redémarrer.
La Floresta. Le quartier résidentiel cool, chic et tranquille de Quito, très apprécié pour ses galeries, ses nombreux cafés modernes et joliment décorés, sa concentration de bons resto et de demeures de style néo-classique. Ses ruelles bordées d'arbres lui donnent du cachet et ses murs peinturlurés de graffitis lui confèrent une ambiance arty. C'est aussi une zone stratégique pour séjourner, non loin du centre-historique et de la Mariscal, mais plus calme.
D'autres quartiers valent le déplacement, comme celui de Guápulo (qui s'étend entre le quartier résidentiel et plutôt huppé de Bellavista, au nord, et le quartier branché de La Floresta, au sud), ou celui de La Carolina. Quartier arty et bohème par excellence, Guápulo est le Q.G. de nombreux artistes et abrite des cafés bohèmes. Les nouveaux quartiers résidentiels, souvent sous forme de lotissements (urbanizacion), cachés derrière de hauts murs jalousement gardés, se nichent dans les vallées, vers Cumbaya, Tumbaco, Los Chillos.
Les quartiers populaires, bruyants et pollués, grouillant d'activité, se trouvent au sud de la ville. Cette partie pauvre (et oubliée) exhibe principalement une architecture de fortune faite de bicoques. Mais ces dernières années, des entreprises commencent à s'y installer et un habitat plus structuré s'y développe avec l'arrivée d'habitants un peu plus fortunés. Comme tout quartier pauvre, la zone sud a la réputation d'être dangereuse, de jour comme de nuit, notamment pour les touristes, qui sont facilement repérables. Les quartiers sud ne sont donc pas recommandés aux étrangers. Ils n'offrent aucun intérêt touristique, sinon sociologique, pour le visiteur. Si vous voulez vivre une expérience des plus locales, c'est ici qu'il faut aller !