Quand partir à TUNIS ?

La météo de Tunis, tributaire d'un climat méditerranéen, est plus agréable que les zones désertiques de l'intérieur et du sud de la Tunisie. Les jours de pluie y sont rares (7 jours en moyenne au mois de janvier) et les températures de Tunis oscillent entre 8 °C en janvier-février et 34 °C au cœur de l'été.

Quand partir à Tunis ? Si dans les stations balnéaires la haute saison se situe aux mois de juillet-août – les tarifs sont alors plus élevés en matière d’hôtellerie – Tunis est plutôt épargnée par le phénomène sans pour autant être dépeuplée. La chaleur est très forte tout au long de l'été dans la capitale et il n'est pas rare que le thermomètre continue d'afficher 30 °C au mois d'octobre. Pour ne pas souffrir de cet implacable climat, la meilleure saison pour partir à Tunis est donc la fin de l'automne et le début du printemps. Mais en définitive, à la question quand partir à Tunis, il n'y a qu'une réponse qui vaille : toute l'année !

La meilleure période pour voyager à TUNIS

Janv.
météo
7 / 15
Feb.
météo
7 / 16
Mars
météo
9 / 18
Avr.
météo
11 / 21
Mai
météo
14 / 25
Juin
météo
18 / 29
€€
Juill.
météo
20 / 32
€€€
Août
météo
21 / 32
€€€
Sept.
météo
20 / 30
€€
Oct.
météo
16 / 25
Nov.
météo
12 / 21
€€
Déc.
météo
9 / 16
€€

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Découvrez TUNIS

Au IVe siècle av. J.-C., Tunis est mentionnée en tant que comptoir phénicien. La ville s'allie avec le tyran de Syracuse pour conquérir Carthage ; les deux villes sont finalement détruites. Tunis renaît de ses cendres au VIIe siècle avec l'arrivée des Arabes qui érigent la mosquée de la Zitouna à l'endroit où poussait un olivier, au sommet d'une colline aux pentes douces. Tunis est devenue Tunis, capitale florissante au XIIIe siècle, par la grâce des rois hafsides. Au XVIIe siècle, elle est convoitée par l'Occident. À la fin du XIXe siècle, le pouvoir colonial français s'y installe. On remarquera les constructions de type colonial, en particulier sur l'avenue Bourguiba. Plusieurs communautés conservent leur authenticité tout en cohabitant en harmonie. La ville basse devient le siège des fonctions administratives. Après 1956, les fonctions tertiaires réintègrent la médina, tandis que des zones industrielles s'étendent au-delà des ports et de l'aéroport.

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