Se rendre à NEW YORK (MANHATTAN) : Formalités et démarches administratives

Organiser son séjour à NEW YORK (MANHATTAN)

Argent à NEW YORK (MANHATTAN)

À New York comme dans le reste des États-Unis, l'unité monétaire est le dollar (US$). Les coupures sont de 1, 2 (rarissimes), 5, 10, 20, 50, 100, 500 et 1000 US$. Les coupures supérieures à 50 US$ sont parfois refusées, notamment aux guichets du métro, dans les taxis mais aussi dans certains magasins ou restaurants.

Uniformément verts et blancs, les billets américains se ressemblent tous et exigent un minimum d'attention. D'autant plus qu'ils ont tous la même taille. Veillez à ne pas vous tromper lorsque vous payez et vérifiez toujours lorsqu'on vous rend la monnaie. Quant aux pièces (coins), elles sont de 1 cent (penny), 5 cents (nickel), 10 cents (dime), 25 cents (quarter) – utilisées dans les bus et les lavomatiques –, 50 cents (half dollar) et, enfin, 1 US$, qui sont désormais dorées (golden dollar). Les pièces de 1 et 5 cents sont toutes petites et de couleur cuivre ; toutes les autres sont de couleur argent.

Le taux de change évolue quotidiennement, renseignez-vous auprès de votre banque avant le départ ou allez consulter un site Internet spécialisé, comme www.xe.com. Selon Boursorama.com, le taux de change au 22 juillet 2025 était de : 1 US$ = 0.85 € ; 1 € = 1.17 US$ (taux réels en succursale).

Budget / Bons plans à NEW YORK (MANHATTAN)

L'argent est une valeur qui a la fâcheuse tendance à vous filer entre les doigts à New York ! La vie y a sacrément augmenté ces dernières années. Si les prix de l'immobilier ont toujours été plus élevés que ceux de Paris (déjà délirants), les autres postes de dépense étaient traditionnellement meilleur marché à New York qu'en France. Mauvaise nouvelle : ce n'est plus le cas aujourd'hui. Pour les touristes européens, les États-Unis sont une destination toujours plus chère. Un séjour à New York vous laissera généralement des souvenirs impérissables et un compte en banque qui fait plutôt une grise mine... Difficile de manger dans un restaurant décent pour moins de 15 US$, difficile de loger dans un hôtel à peine salubre pour moins de 100 US$, les transports en commun sont hors de prix (2,90 US$ le trajet en métro), difficile de consommer sans laisser 15 à 20 % de pourboire, délicat de séjourner à New York sans passer par la case « shopping », etc.

Un élément à bien prendre en compte quand on prépare un budget pour un séjour à New York : vous vous apprêtez à plonger dans le temple mondial du consumérisme et de l'entertainment. L'esprit extrêmement entreprenant des New-yorkais fait que, où que vous soyez dans la ville, vous serez sollicité pour dépenser de l'argent. Un petit en-cas sur le coup de 16h en passant devant une bakery bien cosy, des paires de jeans, des souvenirs I Love NY, le concert d'un artiste qui vous fait rêver depuis des années et que vous n'aurez jamais l'occasion de voir en France, etc. La liste des tentations est longue comme le bras !

Passeport et visas à NEW YORK (MANHATTAN)

Pour vous rendre aux États-Unis, il vous faut un passeport biométrique. La France fait partie du programme Visa Waiver Pilot (VWP), qui autorise tous les ressortissants français à entrer sur le sol américain sans visa, et ce pour un séjour d'une durée maximale de 90 jours. Depuis janvier 2009, pour bénéficier de cette exemption de visa, il est nécessaire de faire une déclaration en ligne pour les séjours touristiques aux États-Unis. Pour cela, il vous faudra remplir le formulaire ESTA en ligne (https://esta.cbp.dhs.gov) et vous acquitter des frais administratifs, à hauteur de 21 US$. Attention à bien remplir le formulaire au moins 72 heures avant et en passant uniquement par le site précédemment cité. De nombreux sites frauduleux vous proposent de prendre en charge cette démarche administrative moyennant des coûts exorbitants. Pour entrer aux États-Unis, il suffit donc d'avoir un passeport biométrique à lecture optique en cours de validité ainsi qu'un billet aller-retour non remboursable et de ne pas avoir l'intention de prolonger son séjour. Enfin, pour tout séjour d'une durée supérieure à 90 jours, le visiteur doit être en possession d'un visa. Plusieurs types de visas existent (étudiant, de travail, etc.), mais ils sont tous assez difficiles à obtenir.

Pour tout savoir sur le type de visa à demander et les démarches à suivre, consultez le site Internet https://fr.usembassy.gov/fr/visas-fr/. Pour obtenir un visa pour les États-Unis, vous devrez vous rendre à l'Ambassade des États-Unis à Paris (http://fr.usembassy.gov). Si vous n'êtes pas en France, voici la liste complète des consulats et ambassades américains où vous pourrez faire vos démarches de visa : www.usembassy.gov

Permis de conduire à NEW YORK (MANHATTAN)

Pour un séjour de moins de trois mois, le permis de conduire français (un ou trois volets) de plus d'un an est valable dans tous les États. Vous devez être âgé d'au moins 21 ans (dans quelques cas 25 ans) pour louer une voiture aux États-Unis. Dès lors que le temps de séjour dépasse trois mois, le permis français ne suffit plus et il devient obligatoire de passer le permis de conduire dans l'État de résidence. Les lois étant différentes selon les États, nous vous conseillons de contacter le consulat français de l'État qui vous concerne.

Santé à NEW YORK (MANHATTAN)

Vous ne courez aucun risque de santé en allant à New York et aux États-Unis.

Sécurité à NEW YORK (MANHATTAN)

Le climat d'insécurité ambiant véhiculé par les films n'est qu'un lointain souvenir, puisque New York est aujourd'hui la grande ville la moins dangereuse des États-Unis. La rotten apple n'est plus depuis les années de politique de tolérance zéro de Rudy Giuliani. On se sent globalement très en sécurité à New York (plus qu'à Paris et d'autres grandes villes d'Europe, en tout cas), les gens sont détendus dans les transports, il y a du monde partout quelle que soit l'heure, en particulier à Manhattan.

Quelques quartiers sont néanmoins à éviter. Le nord du Bronx, l'est de Brooklyn, le quartier de Bedstuy sont notamment déconseillés la nuit. Plus surprenant, les parcs sont les lieux les plus dangereux la nuit à New York, y compris à Central Park. Apprenez à vous orienter, cela vous facilitera les choses, surtout si vous suivez les explications avec un plan sous les yeux. Respectez les consignes de prudence élémentaire valables partout, restez sur vos gardes, et vous ne rencontrerez pas le moindre souci !

Décalage horaire à NEW YORK (MANHATTAN)

Il y a 6 heures de décalage avec la France. Lorsqu'il est 17h à Paris, il est 11h à New York. Cela est vrai en hiver comme en été, puisque le daylight saving time a lieu sensiblement aux mêmes dates en France et aux États-Unis (à une ou deux semaines près).

Langues parlées à NEW YORK (MANHATTAN)

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'anglais n'est pas la langue officielle des États-Unis, puisque le pays n'en a pas ! New York est une ville polyglotte, les trois langues principales sont l'anglais, l'espagnol et le chinois. Si on leur ajoute le russe, le polonais, le français, l'italien, le yiddish, le portugais, l'allemand, le grec, le coréen, l'arabe, le japonais, le hongrois, le vietnamien, l'hindi, les langues slaves, scandinaves et indo-européennes, et celles parlées par les Indiens (Native Americans), on s'aperçoit qu'on a presque fait le tour de la planète !

Compte tenu de la concentration géographique des différentes communautés, la répartition des langues parlées diffère selon les boroughs (on parle par exemple beaucoup plus espagnol dans l'ouest du Queens et dans le Bronx qu'ailleurs ; le russe est très majoritairement parlé dans le sud de Brooklyn, etc.). Peu de gens vous répondront en français à New York, sauf dans les hôtels où le personnel est polyglotte, mais vous pourrez vous débrouiller avec un anglais approximatif.

Communiquer à NEW YORK (MANHATTAN)

Vous ne risquez pas d’être coupé du monde pendant votre séjour à New York. Le wi-fi est disponible gratuitement dans foule de restaurants, magasins et, bien sûr, dans les hôtels. La ville de New York met à la disposition du public un réseau wif-fi gratuit, appelé LinkNYC. En outre, il y a à travers la ville plus de 1 700 kiosques Link (www.link.nyc), ces bornes où l’on peut recharger son téléphone portable, se connecter au wi-fi et appeler un numéro américain, le tout gratuitement.

Electricité et mesures à NEW YORK (MANHATTAN)

Les États-Unis fonctionnent sous 110 volts et à une fréquence de 60 Hz. Les prises de courant sont à deux fiches plates et les douilles des ampoules sont à vis (pas de baïonnettes). Que vous apportiez ou que vous achetiez sur place du matériel électrique, n'oubliez pas de vous munir d'adaptateurs (converters), en vente notamment chez Best Buy et Duane Reade. Si vous achetez des appareils sur place, prévoyez bien d'acheter l'adaptateur avant de rentrer. Mais attention ! Les normes américaines étant totalement différentes des normes françaises, veillez à n'acheter que du matériel compatible.

Les États-Unis refusent de se soumettre au système métrique, ce qui ne nous facilite pas la vie. Les distances sont mesurées en inches (pouces), feet (pieds), yards et miles. Les poids sont mesurés en ounces, pounds et tons. Les mesures liquides sont encore plus complexes et confuses : les mesures impériales (anglaises) et les mesures américaines sont en pints et gallons, mais sont différentes (1 imperial pint = 1,25 american pint).

Bagages à NEW YORK (MANHATTAN)

Faites vos bagages comme vous en avez l’habitude, mais n’omettez pas, quelle que soit la saison : un parapluie, un gilet, pull ou sweat-shirt (la climatisation marche à fond partout : métro, taxis, hôtels, magasins, musées, etc.), un permis de conduire international, votre carte étudiant le cas échéant. En hiver, pensez à partir avec des affaires très chaudes, car le mercure tombe bien plus bas qu’en France : écharpe, grosses chaussettes, grand manteau, pulls d’hiver, gants, bonnet, etc.

Vie quotidienne à NEW YORK (MANHATTAN)

Allo ? à NEW YORK (MANHATTAN)

Le code pays des États-Unis est le 1, et les indicatifs régionaux (area codes) varient selon les boroughs. Manhattan : 212 (le plus souvent), 646 et 917. Brooklyn, Queens, Bronx et Staten Island : 718 (le plus souvent), 646 et 347. Les indicatifs régionaux sont toujours indiqués quand on vous communique un numéro de téléphone. Pour les téléphones portables, l'indicatif régional est remplacé par les préfixes 917, 347 ou 646.

Tous les numéros commençant par 1 800, 1 888 et 1 877 (ex : 1 800 654 7777) sont des numéros gratuits mais ne peuvent pas être composés depuis la France. Il arrive que le numéro de téléphone soit donné sous forme de lettres : pour le composer, il suffit de composer les numéros correspondants aux lettres de votre clavier téléphonique. Par exemple pour le (212) 347-FARM, composez (212) 347 3276.

Pour appeler de la France vers New York : code appel international + code pays + indicatif régional + numéro local à 7 chiffres. Par exemple, pour téléphoner de Bordeaux à Manhattan : 00 + 1 + 212 + 123 4567.

Pour appeler de New York vers l'étranger : 011 (c'est le code d'appel international) + code pays + indicatif régional (ou indicatif portable) + numéro local. Pour la France, le code pays est le 33 et il ne faut pas composer le 0, premier chiffre du numéro. Exemples : Pour Paris : 011 + 33 + 1 + 49 87 65 43. Pour Toulouse : 011 + 33 + 5 + 69 87 65 43. Vers un portable : 011 + 33 + 6 + 12 34 56 78.

Tous les opérateurs français de téléphonie mobile ont des accords avec des opérateurs américains. Il est donc facile de se servir de son portable. Si vous souhaitez garder votre forfait français, il faudra avant de partir activer l'option internationale (généralement gratuite) en appelant le service clients de votre opérateur. Qui paie quoi ? La règle est la même chez tous les opérateurs. Lorsque vous utilisez votre téléphone français à l'étranger, vous payez la communication, que vous émettiez l'appel ou que vous le receviez. Dans le cas d'un appel reçu, votre correspondant paie lui aussi, mais seulement le prix d'une communication locale. Tous les appels passés depuis ou vers l'étranger sont hors forfait, y compris ceux vers la boîte vocale.

Une autre solution est d'acheter une carte SIM prépayée chez l'un des opérateurs locaux, à savoir T-Mobile, Verizon ou AT&T. C'est l'option la plus économique si vous avez l'intention de vous servir de votre téléphone fréquemment et de passer des appels locaux. Sachez cependant qu'en règle générale, un téléphone acheté chez un opérateur français est « bloqué » et n'accepte uniquement les cartes SIM provenant de celui-ci. Vous devez faire la demande de déblocage auprès de votre opérateur avant le départ (ce qui n'est pas toujours possible).

Accessibilité à NEW YORK (MANHATTAN)

À New York, tout (à l'exception du métro) a été pensé pour faciliter la vie aux personnes à mobilité réduite. Les trottoirs sont abaissés à toutes les intersections et, à Manhattan en particulier, les avenues et trottoirs sont tellement larges que les personnes en fauteuil roulant n'ont pas de mal à circuler. Il en va de même pour les commerces, magasins, banques ou encore restaurants, qui sont généralement dotés de portes automatiques. Les malvoyants peuvent s'aider des indications en braille qui se trouvent sur la vaste majorité des touches et boutons.

Santé à NEW YORK (MANHATTAN)

En cas de maladie ou problème de santé, le bon réflexe est de contacter le consulat de France. Il se chargera de vous aider, de vous accompagner et vous fournira la liste des médecins francophones. En cas de problème grave, c’est aussi lui qui prévient la famille et qui décide du rapatriement. Pour connaître les urgences et établissements aux standards internationaux : consulter les sites www.diplomatie.gouv.fr et www.pasteur.fr.

Urgences sur place à NEW YORK (MANHATTAN)

Il n'y a qu'un seul numéro pour les urgences aux États-Unis, il s'agit de 911 (prononcez nine one one). L'opérateur au bout du fil se charge ensuite de dispatcher les appels en fonction de leur nature.

Sécurité à NEW YORK (MANHATTAN)

New York a beau être une ville sûre, le visiteur doté d'un minimum de bon sens fera preuve de vigilance tout au long de son séjour. Les touristes peuvent notamment être la cible des pickpockets. Si quelqu'un vous bouscule violemment ou vous aborde sous un prétexte suspect, soyez sur vos gardes. De même, attention aux bousculades en montant ou en descendant des transports en commun, un moment idéal pour les pickpockets. Si vous avez besoin de prévenir la police, composez le 911 en cas d'urgence et le 311 s'il ne s'agit pas d'une urgence.

LGBTQ à NEW YORK (MANHATTAN)

New York n'a pas grand-chose à envier à San Francisco, souvent considérée comme la ville la plus gay-friendly du monde. C'est ici, dans les années de militantisme, entre 1960 et 1970, qu'est né le mouvement d'affirmation et de revendication de la communauté gay et lesbienne. Les New-Yorkais sont ainsi plus tolérants que dans le reste des États-Unis et le mariage homosexuel y est autorisé depuis 2011.

Ambassade et consulats à NEW YORK (MANHATTAN)

L'ambassade de France aux États-Unis se trouve à Washington, D. C. (washington.consulfrance.org), mais New York possède un consulat qui s'occupe de tous les services aux citoyens français (https://newyork.consulfrance.org/).

Poste à NEW YORK (MANHATTAN)

Les Post Offices (www.usps.com) ouvrent en semaine de 8h à 17h et le samedi de 9h à 14h. On trouve des bureaux de poste aux endroits stratégiques comme Grand Central Station, Macy’s (dernier étage), Times Square, l’Empire State Building (entrée sur 5th Avenue), le Rockefeller Center, etc. Vous pouvez également vous adresser à UPS pour votre courrier, une société privée.

Les boîtes aux lettres new-yorkaises sont bel et bien ces espèces de grands conteneurs métalliques bleus qui ressemblent à tout... sauf à des boîtes à lettres (selon nos critères français, of course ! ). Heureusement, on y voit le logo de la poste et l’inscription « U.S. Mail » dessus. Si vous avez l’intention d’écrire à votre famille et à vos amis, achetez vos timbres dans les bureaux de poste, c’est là que ça vous reviendra le moins cher. Le timbre pour une carte postale ou une lettre vers l’Europe vous coûtera au minimum 1,15 US$, selon le poids de l’enveloppe. Il faut compter trois à sept jours de délai pour que votre courrier arrive à destination. Pour vous épargner d’interminables files d’attente, soyez malin, allez directement au guichet « Philatélie » ou utilisez les distributeurs. Attention aux valeurs déclarées qui risquent de faire bloquer votre paquet en douane et vous obligent à payer une taxe supplémentaire si sa valeur excède 50 US$. Le reste du courrier est acheminé par bateau. Pour les paquets urgents, Fedex est une bonne référence (www.fedex.com/us).

Médias locaux à NEW YORK (MANHATTAN)

La presse s'achète partout. Non seulement chez les marchands de journaux et dans les kiosques, mais aussi dans les supermarchés, dans les drugstores, dans les Starbucks... Grâce à la publicité et à des paginations impressionnantes, la presse quotidienne américaine est exemplairement bon marché. Parmi les revues les plus populaires, citons le New York Times, l'équivalent du Monde qui représente la presse libérale, et The New Yorker, grand magazine hebdomadaire contemporain qui traite aussi bien de politique que de culture et pop-culture, également connu pour ses dessins très drôles !

À cette presse, s'ajoute celle des vingt et quelques communautés qui éditent leur journal quotidien dans leur propre langue. Comme en France, la presse gratuite a connu un essor dans les années 2000. Deux quotidiens sont distribués dans les grandes stations de métro chaque matin : Am New York et Metro. Autres gratuits qui vous renseigneront sur les événements culturels de la semaine et les séances de cinéma : Village Voice et Time Out. Pour ce qui est de la presse francophone, France-Amérique, le seul magazine bilingue (français-anglais) du pays, décortique l'actualité américaine et française dans son magazine mensuel, mais aussi sur son site Internet. D'ailleurs, c'est surtout sur le web que vous pourrez vous informer en français sur ce qui se passe à New York. French Morning (www.frenchmorning.com) s'adresse autant aux touristes qu'aux expats, à l'instar de Voila New York (www.voilanewyork.com), deux sites truffés d'infos pratiques sur la Big Apple.

Côté télévision, il existe une chaîne locale à New York, NY1. On y trouve des bulletins d'informations réguliers centrés sur l'actualité locale, la météo, des programmes sur l'art de vivre new-yorkais, et de nombreuses émissions sur les restaurants et bars de la ville. Sachez que, comme France 3, les grandes chaînes américaines ont toutes un décrochage local, notamment pour les informations. CBS, ABC, FOX, TBS proposent notamment un JT sur l'actualité new-yorkaise à 23h. Faits-divers glauques garantis !

La radio, pour finir, n'a pas une place très importante dans l'univers des médias à New York. Il y a bien sûr NPR, (appelé WNYC à New York, 93.9) la seule station gouvernementale, et également plusieurs stations locales : WNYU (89.1), la radio de l'université de New York avec musique et débats, WABC (770 AM), que l'on peut comparer à Europe 1, New York Weather (87.5) pour la météo, et ESPN NY (98.7) pour suivre en direct les matchs des différentes équipes de la ville. Pour la musique il y a l'embarras du choix WBLS (107.5) pour le R&B, WBEE (92.5) pour la country, Z100 (100.3) pour les hits du moment, HOT97 (97.1) pour le hip-hop.