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MUSÉE NATIONAL ARCHÉOLOGIQUE D'ATHÈNES

Musée
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44, rue Patission, Athènes, Grèce
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Cet impressionnant musée national abrite une extraordinaire collection de l'époque néolithique retraçant la richesse de la Grèce.

Comptez 3 heures pour faire le tour de cet impressionnant musée national. Achevé en 1888 et rénové en 2004, il abrite une extraordinaire collection retraçant la richesse de la civilisation grecque depuis l’époque néolithique.

Collection préhistorique : rez-de-chaussée, salles 3, 4, 5, 6.

Commencez par ces salles retraçant les trois cultures majeures de Grèce qui se sont succédé entre le VIIe millénaire et 1100 av. J.-C. Il s’agit des arts néolithiques, cycladiques, puis mycéniens.

Salle 5 : collection d’objets ou de figurines en argile, en pierre ou en os de l’âge néolithique (de -6600 à -3300 av. J.-C.) à l’âge du bronze (de 3300 à -2000 av. J.-C.). On date de l’âge néolithique l’apparition de l’agriculture, de la domestication des animaux ainsi que des premiers habitats fixes.

Parmi les objets venant des sites de Sesklo (Thessalie) et de Dimini, on peut admirer la grande idole en terre cuite de l’homme assis, provenant de Thessalie. Il s’agit probablement d’une divinité symbolisant la fertilité (n° 5894). Parmi les idoles féminines qui représentent la grande déesse, la Kourotrophos, mère nourricière (n° 5937), est de toute beauté.

Salle 6 : superbe collection de statuettes, figurines et vases des Cyclades datant de l’âge du bronze. Provenant de cimetières ou d’habitats, les figurines en marbre et les outils ou armes en bronze témoignent du développement de la métallurgie vers 3000 av. J.-C., en particulier dans les îles, qui revêtaient une signification particulière. Au fond, à droite, on ne manquera pas les joueurs de flûte et de harpe dont les statuettes en trois dimensions expriment une maîtrise parfaite de l’espace. La statue en marbre représentant une femme croisant les bras est également très caractéristique de la sculpture cycladique. Au fond, à gauche, sont exposées les trouvailles faites à Phylakopi, un des centres phares des Cyclades.

Salles 3 et 4 : elles regroupent une collection impressionnante d’objets représentatifs de la civilisation mycénienne (XVIe siècle av. J.-C.-XIe siècle av. J.-C.), retrouvés majoritairement dans des tombes à Mycènes. Ils démontrent l’avancée de cette civilisation en termes d’art (travail de l’or, de la pierre ou de l’ivoire) : bijoux, peinture, métallurgie mais aussi langage. C’est à la fois un raffinement, une grandeur et un goût pour la guerre qui nous sont donnés à voir. Les objets sont regroupés par localités.

La première localité est Mycènes, dont les trésors sont exposés en face de l’entrée de la galerie. On trouvera d’abord les excavations des cercles A et B, parmi lesquelles : les fameux masques funéraires en fines feuilles d’or utilisés pour couvrir les faces des chefs morts (vitrine 27, en face de l’entrée). Parmi eux, le masque d’Agamemnon (n° 624, vitrine 3 sur la gauche) a été attribué à tort par Schliemann au héros homérique : en réalité, ce masque couvrait le visage d’un roi antérieur d’au moins trois siècles à Agamemnon ; le rhyton en argent (récipient utilisé pour les libations) en forme de tête de taureau (n° 384, vitrine 18 à droite de l’entrée) portant des cornes et une rosette en or. Comme pour tous les animaux représentés, il suggère une impression de mobilité, avec une répétition de motifs comme la spirale (symbole du flux éternel de la vie), la rosette, le lys ; un vase en cristal de roche (n° 8638, vitrine 5) à la forme épurée d’un canard. Il s’agit d’une œuvre d’une rare finesse à une époque où l’art guerrier massif s’est substitué à l’euphorie crétoise. Viennent ensuite les excavations des tombes à chambres et à tholos de Mycènes, principalement des vases en métal, en pierre ou en argile, des bijoux en or, des pierres semi-précieuses. Les objets provenant de la citadelle de Mycènes occupent le centre de la salle. On ne manquera pas le vase aux guerriers (n° 1426, mur de droite un peu plus loin) qui représente six guerriers armés partant à la guerre. Une femme, à gauche, leur fait un signe d’adieu, sans doute partent-ils pour longtemps ; le groupe en ivoire (n° 7711, vitrine 30 au centre) constitué de deux déesses et d’un jeune dieu en leur milieu ; les peintures murales (dont n° 11670, mur de gauche), dont la superbe fresque représentant une déesse se détachant sur un fond bleu. La femme, de profil, semble ignorer le spectateur qui est seul face à la finesse déconcertante de ses traits. Ces peintures étaient particulièrement importantes puisqu’elles proviennent d’un foyer cultuel de Mycènes.

Dans le reste de la salle, on découvrira des objets d’autres localités comme Tirynthe ou Pilos. De cette dernière proviennent les tablettes en linéaire B (vitrine 9, mur de droite) en argile, calcinées par l’incendie du palais de Nestor. On ne manquera pas non plus d’admirer les coupes en or (n° 1758 et n° 1759), époustouflantes par la richesse et la précision du relief gravé. On y voit une scène de capture de taureaux.

Collection de sculptures : rez-de-chaussée, salles 7 à 35. Ces salles abritent une des plus grandes collections de bronzes anciens, en majorité de petites statues ou figurines votives données en offrande dans les sanctuaires. Elles permettent de suivre l’évolution de l’art de la période géométrique à l’époque romaine.

Salle 7 : elle contient des œuvres de style dédalique, sans doute réalisées par le célèbre architecte Dédale, comme les métopes du temple d’Athéna à Mycènes ou les trois statues de femmes assises. La statue de femme n° 1 pourrait représenter Artémis. Il s’agit en tout cas de la première statue en pierre réalisée en grandeur nature.

Salles 8 à 13 : ensemble de sculptures archaïques du VIIe siècle à 480 av. J.-C. représentant de jeunes éphèbes (kouros) et de jeunes filles (korê). Dans la salle 8, la korê Phrasikleia (n° 4889, sur la gauche) exprime superbement la douleur et la beauté perdue, deux thèmes liés à la mort puisque cette statue était érigée sur une tombe. La salle 10 témoigne de l’évolution du culte des morts à partir du VIIe siècle. Le fragment de stèle représentant un jeune homme de profil (n° 38) illustre ainsi la maîtrise de la projection du visage sur la surface ronde, elle-même en relief. Dans la salle 11, on voit nettement les progrès réalisés, notamment dans l’expressivité des traits du visage qui s’incorporent désormais à une dynamique d’ensemble. Cela est nettement visible dans la salle 13 avec le relief d’Hoplitodromos (n° 1959), un jeune homme nu coiffé d’un casque, probablement un danseur en cours de mouvement puisque son corps semble entraîné vers la droite et précéder le mouvement de sa tête. Dans cette même salle, le plus récent des kouros est Aristodikos (n° 3938) qui date de 500 av. J.-C. Les cheveux courts, les bras flottants ainsi que la musculature tout en volume préfigurent déjà d’un tout autre style, celui de la période classique.

Salles 14 et 15 : il s’agit de la période dite de « style sévère », qui s’étend de 480 à 450 av. J.-C. environ. La salle 14 l’illustre clairement, notamment avec le relief votif de Sounion (n° 3344), représentant un jeune athlète se coiffant d’une couronne. Au centre de la salle 15, difficile de manquer le Zeus ou Poséidon de l’Artemission (n° 15161), cette superbe statue de 2 m de hauteur qui a été repêchée en mer près d’Artemission. Selon la légende, les Romains l’avaient volée dans le temple dédié au dieu de la Mer qui, pour se venger, coula leur bateau.

Salle 16 : stèles et vases funéraires en marbre de la guerre du Péloponnèse (de 430 à 420 av. J.-C.). A l’occasion de cette guerre, les stèles réapparaissent, d’abord avec une ou deux figures en léger relief, puis avec des proportions conséquentes. Les reliefs sont très réalistes, notamment sur le vase Lekythos (n° 4485) montrant la femme morte menée par Hermès à Hadès.

Salle 17 : fragments de métopes en marbre représentant une amazonomachie et une statue en marbre d’Héra provenant de l’Héraion à Argos. Parmi les nombreux reliefs présentés, celui défigurant Dionysos affalé sur un canapé (n° 1500), entouré de trois acteurs portant un masque est à ne pas manquer. Il pourrait s’agir d’une sculpture dédiée à la suite d’une représentation de la fameuse pièce d’Euripide, Les Bacchantes.

Salle 18 : intéressante, elle témoigne de l’évolution du culte des morts au début du IVe siècle av. J.-C. La stèle d’Hegeso (n° 3624) exprime cette séparation entre la jeune défunte assise sur une chaise et sa servante qui lui tend la boîte à bijoux d’où la défunte prend un bibelot.

Salles 19 et 20 : sont exposées ici les copies des statues du Ve siècle av. J.-C., perdues lors de leur transfert à Rome, à l’époque où la Grèce devint une province de l’Empire romain. Les originaux étaient en bronze, les copies en marbre. Ne pas manquer la statuette d’Athéna Varvakeion, réplique miniature de la statue chryséléphantine du Parthénon.

Salles 21, 34 et 35 : ces salles qui servent un peu de passage ont l’inconvénient de présenter les objets dans un ordre non chronologique. Le Jockey d’Artemission, œuvre phare du musée, surprend par le réalisme de l’expression et la tension qui animent le jeune cavalier et sa monture.

Salle 22 : on y trouve un grand ensemble architectural composé de sculptures du temple d’Asklepios à Epidaure. Le fronton est représente la chute de Troie et le fronton ouest une scène d’amazonomachie. On remarquera le mouvement et l’acrobatie que les jeunes femmes exécutent sur le dos des chevaux (marins ?).

Salles 23 et 24 : encore un témoignage intéressant de l’évolution des stèles vers la fin du IVe siècle av. J.-C. Les stèles sont de plus en plus opulentes et monumentales, grandeur nature, avec une grande précision dans le rendu des sentiments tels que la peine ou la tristesse.

Salles 25 à 27 : ce sont de longues galeries étroites jonchées d’ex-voto destinés à des divinités secondaires comme Pan ou les Nymphes. La salle 26 permet d’apercevoir Asklepios et sa famille (n° 1402) et le fameux serpent (n° 2565), emblème actuel du caducée.

Salle 28 : sont exposés ici les derniers grands monuments funéraires de la fin du IVe siècle, comme celui d’Aristonaute trouvé au cimetière du Céramique (n° 738, à gauche en entrant). En effet, devant l’extravagance et le coût croissants de ces monuments toujours plus grands, une loi fut passée en 317 av. J.-C. afin d’interdire la construction de monuments funéraires dans les cimetières d’Athènes ! On ne manquera pas l’éphèbe en bronze de Marathon attribué à Praxitèle, ni celui d’Anticythère.

Salles 29 et 30 : il s’agit de l’époque d’Alexandre le Grand, marquée par le fait que les artistes ne veulent plus travailler dans les grands sites. On a trouvé de nombreuses œuvres de cette période en Asie Mineure, à des endroits où les artistes partaient exercer leurs talents. De nombreux ateliers se mirent en place dans les îles, privilégiant le réalisme, la taille et le mouvement. On peut donc admirer trois siècles de gigantisme dans ces deux salles. Dans la salle 30, l’admirable représentation d’Aphrodite, de Pan et d’Eros y échappe ; elle est de toute beauté.

Salles 31 à 33 : ces salles témoignent de l’expansion de l’Empire romain en Grèce entre le IIe siècle et 31 av. J.-C. L’art s’adapta ou fut adapté en conséquence. La salle 31 donne un aperçu du règne d’Auguste à celui de Domitien. Dans la salle 32, dédiée au IIe siècle apr. J.-C., comment ne pas tomber sous le charme du doux portrait d’Antinoos (n° 417), le favori de l’empereur Hadrien ?

Collection de bronzes : rez-de-chaussée, salles 36 à 39.

Salle 36 : à l’entrée, tout d’abord le petit cheval et son cavalier du sanctuaire de Zeus à Dodone ainsi que la statuette d’une femme portant une colombe du mont Pindos. Dans la vitrine 1, sur la droite en entrant, de nombreuses tablettes des décrets de la proxenia, qui garantissaient à certains citoyens ainsi qu’à leur descendance des privilèges tels que l’exemption de taxes et la protection en temps de guerre comme de paix. Dans la vitrine 4, de nombreuses figurines de bronze, des statuettes d’animaux, d’hommes et de femmes comme Aphrodite, Athéna, Héraclès ou un boxeur, ainsi que des instruments médicaux. Dehors (n° 25), le joueur de flûte en bronze est un petit chef-d’œuvre. Dans la vitrine 6, des haltères en forme de sanglier offerts à Zeus par un athlète. Dans la vitrine 8, on pourra observer la statuette d’une ménade fatiguée. Devant la vitrine 9, Zeus tient un éclair de manière menaçante.

Salle 37 : on remarquera, dans la vitrine 10, le détail du procédé de fabrication des statues avec la méthode de la cire. Ne pas manquer également la statue d’un flûtiste de Samos (n° 16513), où les ficelles tenant la flûte transparaissent encore, et l’astrolabe (n° 15087), un ingénieux et complexe système de roues et de poulies permettant d’effectuer des calculs de calendrier et de signes du zodiaque.

Salles 38 et 39 : une Athéna du Ve siècle, retrouvée à l'Acropole ou encore l'étonnante machine d'Anticythère, à engrenages, qui serait peut être un outil de navigation... Cette collection de statues et stèles est présentée dans un ordre chronologique allant du VIIe siècle av. J.-C. au Ve siècle de notre ère. Elle permet de suivre, en un condensé bouleversant, l’évolution de la naissance de l’expression artistique.

Collection égyptienne : rez-de-chaussée, salles 40 et 41. Intéressante et unique collection égyptienne en Grèce. Objets datant de 5000 av. J.-C. et jusqu'à la conquête romaine dont papyrus, sarcophages, momies, etc., rassemblés par deux Grecs d'Egypte, puis donnés au musée.

Collection Stathatos : rez-de-chaussée, salle 42. Une superbe collection privée à ne pas manquer s’il vous reste du temps. Près de 1 000 objets mineurs de l’âge du bronze à la période post-byzantine y sont présentés. Dans la vitrine 1, ne pas manquer le vase minoen en pierre caractéristique des vases géométriques et archaïques. Dans la vitrine 26, au centre de la pièce, le trésor de Karpenissi, impressionnant.

Collection de vases : premier étage, salles 49 à 56. Une collection d’une grande richesse, notamment par la quantité et la qualité des vases géométriques trouvés dans des cimetières ou des sanctuaires. Ils sont présentés par ordre chronologique, retraçant ainsi l’histoire de la poterie grecque entre le XIe siècle et le IVe siècle av. J.-C.

Salles 49 à 51 : elles permettent de voir de nombreux vases de la période géométrique (de 1100 à 700 av. J.-C.). Le premier siècle de cette période se caractérise par des vases aux motifs simples, décorés de cercles concentriques, de zigzags, de losanges ou de triangles. Au IXe siècle s’y ajoutent méandres et cruciformes alors qu’au VIIIe siècle les êtres humains font leur apparition. Ils sont représentés se livrant à des batailles navales, des duels ou des courses de char, comme l’exprime superbement le vase n° 990 de la salle 50. De 700 à 630 av. J.-C. environ, l’art s’orientalise et les décorations s’affranchissent de toute symétrie pour privilégier les bêtes sauvages ou les ornements de fleurs. C’est aussi la naissance de la technique de polychromie qui consiste à représenter les scènes en noir mais en soulignant les contours par incision ou en les peignant en blanc ou en violet. Pour en avoir une idée, ne pas manquer, dans la salle 51, les vitrines 21 à 27 ainsi qu’un chef-d’œuvre de l’époque : le vase représentant sur sa partie haute Héraclès, vainqueur du centaure Nessos, et sur sa partie basse les trois Gorgones (n° 1002).

Salles 52 à 55 : on y trouve de nombreux vases du début du VIe siècle av. J.-C., principalement d’Attique, où les potiers et peintres sur vase furent nombreux. Ne pas manquer, dans la vitrine 56 de la salle 53, les parties retrouvées de vases donnés en offrande dans le sanctuaire d’Athéna à l’Acropole. Dès 530 av. J.-C., une nouvelle technique fit son apparition : le pourtour du vase est peint en noir et les personnages gardent la couleur de l’argile rouge, alors que les détails restants sont finement peints en noir. Loin de s’exclure, les deux techniques ont coexisté.

Salle 56 : on y voit de nombreux vases « à silhouettes rouges » de la fin du Ve et du début du IVe siècle av. J.-C. A l’entrée de la salle, admirez la grâce et le raffinement des vases de la période classique à travers les œuvres du peintre dit d’Eretria.

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Visité en mars 2020
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Service
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Superbe musée
Superbe musée archéologique ! Des tonnes de statues très bien conservées (vous pourrez même découvrir des statues de bronze encore sur pied); un trésor Micénien qui vaut le détour (masque d'Agamemnon, entre autres), et beaucoup d'autres salles qui nous plongent dans le passé. Si vous souhaitez visiter tout le musée il vous faut prévoir au moins 3 bonnes heures, voir une après-midi.
Le musée est gratuit les 1ers dimanches du mois de Décembre à Mars et certains autres jours également, et cala vaut le détour !
maca84
Visité en septembre 2019
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
Super !
Musée très complet pour tous les fan d'archéologie. La collection est très riche et diversifiée. Peut intéresser tous publics !
Gabrielle_53
Visité en septembre 2018
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
Superbe musée que le musée archéologique d'Athènes. C'est l'une des visites à faire et voir.
Il est très riche d'une collections de la Grèce Antique, vraiment magnifique, j'ai adoré.
Il est possible de se poser dans le café du musée. Il est facile d'accès via les transports en commun.
soizic1984
Visité en août 2017
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
Un très beau musée d'archéologie. Au début, j'avoue, j'ai voulu aller dans ce musée juste pour voir le masque d'Agamemnon ! Et c'est vrai, ça vaut le coup, le masque est magnifique et très bien mis en valeur. Néanmoins, tout le musée vaut la visite, la muséographie est très claire, et j'ai pris un grand plaisir à découvrir toutes ces beautés archéologiques.
drusa
Visité en janvier 2018
Rapport Qualité/Prix
Service
Originalité
Musée exceptionnel avec des objets der l'antiquité grecque. A ne pas rater le masque d'Agamemnon, l'enfant sur cheval en bronze, la statue d'Athènes. Certaines salles sont fermées en hiver à cause du manque de personnel.

Questions fréquentes :

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MUSÉE NATIONAL ARCHÉOLOGIQUE D'ATHÈNES se situe au 44, rue Patission , Athènes
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