Guide du Turkménistan : Les personnalités célèbres : Turkménistan

Aktan Abdukalikov

Ce cinéaste, à défaut d'être le plus en vue, est le seul véritable réalisateur kirghize du moment. Né en 1957 et diplômé de l'Institut des Arts de Bichkek. Les débuts de sa carrière sont difficile : il passe les dix années précédant l'indépendance au sein des studios Kyrgyz films où il gravit tous les échelons jusqu'à celui de réalisateur. Après un court métrage discret, La Balançoire, en 1993, il réalise son premier long métrage en 1998. Le Fils adoptif s'attarde sur le destin d'un jeune kirghize dans les années 1960. Cinq ans plus tard, il s'attire une certaine reconnaissance des milieux artistiques lorsque son nouveau film, Le Singe, est présenté au festival de Cannes. Il n'a rien tourné depuis.

Barzou Abdourazzakov

Un dramaturge tadjik très en vue depuis qu'il a mis en scène Les Fourberies de Scapin en version orientale. Il est le premier tadjik à voir l'une de ses pièces, Huit monologues de femmes, traduite en français.

Azkar Akaev

Né en 1944, l'ancien président du Kirghizistan a fait des études de physicien à Léningrad où il obtient son diplôme en 1967. Il passe les dix années suivantes à diriger des recherches dans la même Université avant de revenir au pays, en 1977, où il décroche un poste de professeur à l'Université Frounze. Il poursuit néanmoins toujours ses recherches et reçoit en 1981 son doctorat de l'Université de physique de Moscou et intègre l'Académie kirghize des sciences dont il assurera la présidence à partir de 1989. Son prestige lui vaut d'être propulsé président de la république kirghize en 1990, battant lors du scrutin le premier secrétaire du Parti communiste kirghize, Azamat Masaliyev. Un an plus tard, lorsque le Kirghizistan accède à l'indépendance, Azkar Akaev, qui entretemps a été contacté par Mikhaïl Gorbatchev, rien de moins, pour assurer la vice-présidence de l'Union Soviétique, devient le premier président de la nouvelle République Kirghize. Il sera réélu en 1995 et en 2000. Parmi les cinq ex-républiques socialistes soviétiques d'Asie Centrale, le Kirghizistan est donc le seul pays à être dirigé non par un ancien apparatchik du système mais par un homme de science, cultivé et perçu comme un démocrate par l'Occident, même s'il ne cessera jamais d'affirmer ses convictions communistes. Il lancera néanmoins son pays sur la voie de la privatisation des terres et des entreprises et, tout au long de sa carrière, fera figure de " leader démocratique " dans la région, accordant un semblant de liberté à la presse et aux médias ainsi qu'à l'opposition. Mais dans un pays où la population a toujours été habituée aux régimes forts, cet homme sensible et cultivé engageant des réformes ne pourra jamais se départir d'une certaine image de faiblesse que ses opposants mettront à profit pour le renverser. De nombreuses manifestations émailleront ses mandats, auxquelles il mettra souvent violemment un terme (5 morts et 60 blessés en mars 2002 dans la province de Djalalabad). Avec le temps, Azkar Akaev, qui n'a plus le droit de se représenter aux élections présidentielles de 2005, finit par aimer le pouvoir au point de chercher à propulser son propre fils à la présidence pour lui succéder, de manière à rester, évidemment, aux manettes. Les derniers mois de sa présidence sont marqués par un renforcement du régime et une dégradation des libertés individuelles et publiques. Les élections truquées entraînent une vague de protestation dans le Sud du pays, à Osh et Djalalabad (le président appartient au clan du Nord), alors que des manifestants commencent à camper sur la place Ala Tau et face au palais présidentiel pour exiger le départ du clan Akaev. L'opposition entre dans une phase de révolte, soutenue par la plus grande part de la poulation, lassée de la corruption et de la lenteur des réformes. C'est le début de la " révolution des tulipes ", au terme de laquelle Azakar Akaev est contraint de s'exiler en Russie alors qu'un de ses anciens premiers ministres, Kurmanbek Bakiev, prend la tête de l'opposition et s'empare du pouvoir. L'ancien président kirghize, accueilli par Vladimir Poutine, a retrouvé une chaire à l'Université de Moscou où il continue d'enseigner.

Sergeï Alibekov

Animateur ouzbek, auteur de quelques célèbres courts-métrages comme Mild rain (1984), Pause (1986) ou Echogram (2003). Mild rain a été récompensé aux festivals de Leipzig et Bilbao. Echogram, sa dernière création qui dure 17 mn et utilise des techniques de sculptures en pâte à modeler, a été présenté au festival de films d'animation de Kiev, en Ukraine. Son tournage a duré un an.

Tchingiz Aïtmatov

Ce fils de haut fonctionnaire communiste né dans la région de Talas et mort à Nuremberg, en Allemagne, est l'un des plus célèbres écrivains kirghizes contemporains. Alors qu'il n'est âgé que de 10 ans, son père est victime des grandes purges staliniennes. Aors que ses études le destinaient à l'agriculture, il parvient à devenir journaliste et travaille d'arrache-pied pour intégrer, à 28 ans, l'Institut Gorki de Moscou. Il arrête alors de traduire des oeuvres russes dans sa langue nationale pour se consacrer à l'écriture de nouvelles qui, à leur tour, portées par leur succès, seront traduites en russe. Il reçoit en 1963 le prix Lénine pour son recueil de nouvelles intitulé Nouvelles des montagnes et de la steppe. Le succès croissant de ses romans (Une journée plus longue qu'un siècle, 1983 ; Les rêves de la louve, 1987 ; L'oiseau migrateur face à face, 1989) lui valent de fréquenter l'intelligentsia russe à Moscou. En 1985, il est conseiller culturel de Gorbatchev. Après l'indépendance, il est nommé ambassadeur du Kirghizistan à Bruxelles. Sa production littéraire continue de s'enrichir et, en 2008, âgé de 79 ans, il publie son nouveau roman, Le Léopard des neiges. Ce sera le dernier ouvrage du grand conteur kirghize puisque, la même année, il succombe aux suites d'une inflammation pulmonaire contractée alors qu'il se trouvait en Allemagne sur le tournage d'une adaptation cinématographique de l'un de ses romans.

Atonazar Arifov

Actuel premier secrétaire du parti Erk. Le 14 juin dernier 2003, il s'en est violemment et publiquement pris à l'action du gouvernement ouzbek et de son président, reprochant en particulier à celui-ci d'avoir fait de son peuple un troupeau d'esclaves au lieu de lui offrir la liberté qu'il méritait après l'indépendance. Assez miraculeusement, Atonazar Arifov est toujours vivant et en liberté, ainsi que les autres membres de son parti.

Kurmanbek Bakiev

Le second président de la République kirghize, élu en juillet 2005 après la révolution des tulipes et réélu en juillet 2009, est né en 1949 dans la région de Djalalabad. Après une carrière industrielle, il entre en politique en se faisant élire député puis, en 1995, gouverneur de la région de Djalalabad. Se rapprochant de la capitale, centre du pouvoir, il exercera les mêmes fonctions pour la région de la Chouy entre 1995 et 2000 avant de devenir le premier ministre du second mandat d'Azkar Akaev, qui fait ainsi une tentative d'union entre le clan du Nord et le clan du Sud. Bakiev ne restera en poste que deux ans, démissionnant après la répression sanglante de la manifestation de Djalalabad en mars 2002. Il entre alors dans l'opposition et fait fifure de leader lors de la révolution des tulipes en mars 2005. En juillet de la même année, après la fuite d'Akaev, il est élu président de la république avec 89% des voix. Les espoirs de changement sont bien vite déçus et l'on assiste depuis à un durcissement du pouvoir envers les anciens partisans du clan du Nord, l'opposition, et la presse. En 2009, au terme d'une campagne frauduleuse au cours de laquelle les observateurs internationaux n'ont pu que constater l'absence totale de transparence, Bakiev est élu pour un second mandat avec 73% des sufrages. En avril 2010, il réprime dans le sangles manifestations de l'opposition (près de 100 morts) et est contraint de prendre la suite dans son fief sudiste de la Ferghana kirghize.

Ruslan Baltiev

Le plus apprécié des footballeurs kazakhs, surtout depuis qu'il a permis à son équipe de remporter une nette victoire, 3-1, contre Andorre en septembre 2009. Ce milieu de terrain âgé de 32 ans est le meilleur buteur de son pays avec 13 réalisations en équipe nationale. Après un long passage en Russie, où il a joué au dynamo de Moscou, il est depuis 2007 de retour au pays où il a intégré l'équipe du FC Tobol Kustanay.

Kanatbek Begaliev

Ce champion kirghize de lutte gréco-romaine a perdu en deux rounds la finale des Jeux Olympiques de Pékin face au français Steeve Guénot dans la catégorie moins de 66 kg. Né à Talas en 1984, il s'était déjà distingué lors des Jeux Olympiques de 2004 où il avait fini 11è du classement moins de 66 kg. Deux ans plus tard, il est finaliste malheureux des championnats du monde. Malgré son succès aux JO de Pékin, Kanatbek n'a pas réussi à s'affirmer lors des championnats du monde de 2009, où il ne se classe que 28è. Mais âgé de 25 ans, Kanatbek Begaliev demeure le meilleur espoir kirghize dans sa catégorie pour s'affirmer dans les compétitions internationales.

Bolotbek Chamchiev

L'un des pères du cinéma kirghize, acteur et réalisateur, il se fait remarquer dans Chaleur torride, réalisé en 1963 par Larissa Chepitko. Son premier film est en fait un documentaire sur le plus célèbre conteur kirghize de Manas, en 1966. Il réalisera par la suite une dizaine de films avant d'occuper des postes politiques (député à partir de 1985, ministre du tourisme en 1998, puis ambassadeur). Il s'oppose à partir de 2002 à la politique du président Azakr Akaev et rejoint après la "révolution des tulipes" les rangs du nouveau président Kurmanbek Bakiev, dont il était l'un des conseillers. Chamchiev travaille de nouveau sur un projet cinématographique : la sortie de son nouveau film : Les Fantômes de la forêt de noyers est prévue pour 2010.

Sergeï Dvortsevoy

Jeune réalisateur kazakhe ayant étudié le cinéma à Moscou juste après l'indépendance du Kazakhstan. Il a commencé par réaliser divers documentaires qui lui ont valu une certaine reconnaissance internationale. Plus récemment, en 2008, il a réalisé son quatrième film, Tulpan, qui a remporté le grand prix de la sélection " Un certain regard " au festival de Cannes. En 1999, son moyen métrage Highway avait également été salué par la critique cinématographique.

Arthur Grigorian

Ce boxeur ouzbek a été sacré plus de dix fois champion du monde dans la catégorie poids légers. D'origine arménienne, Grigorian s'est entraîné en Allemagne et a accompli jusqu'à 35 ans une belle carrière sportive, invaincu avec 37 victoires dont 22 par KO, sur 38 combats. Fin février 2009, la star du ring ouzbek a annoncé son retour sur le ring pour un match de gala. Âgé de 42 ans, il s'est battu à Hambourg en six rounds contre le bulgare Grigor Grigorov, et a fini sur une nouvelle victoire.

Sherali Jouraev

Un des chanteurs traditionnels les plus populaires d'Ouzbékistan. Jadis proche du président Islam Karimov, il figure aujourd'hui sur la liste noire pour son trop fort penchant à dire la vérité à voix haute. Il lui est désormais interdit de se produire en public, mais les riches de Tachkent font fréquemment appel à lui pour animer un mariage ou un anniversaire. Ses tarifs sont très élevés mais, occasionnellement, il n'hésite pas à honorer gratuitement de sa présence les fêtes chez les classes moins aisées de la population, ce qui contribue à sa popularité.

Gulnara Karimova

Fille du précédent, âgée de 36 ans, diplômée de Harvard, Gulnara Karimova est tout simplement incontournable en Ouzbékistan. Elle tiendrait à elle seule plus de la moitié de l'économie du pays à travers la gigantesque firme Zeromax, qui gère gaz, pétrole, textile, or et uranium, entre autres, en Ouzbékistan, et dont le siège est en Suisse. Pour l'argent de poche, elle dirige tout ce qui apparaît en Ouzbékistan : discothèques, supermarchés, hôtels et s'apprête même à créer, en 2009, son propre tour operator qui sera à n'en pas douter, d'entrée de jeu, le plus important du pays. Et, enfin, pour s'amuser un peu, Gulnara possède également quelques jeux : une "Semaine de la mode" à Tachkent (elle a sa propre ligne de bijoux), une licence de téléphonie mobile, une chaîne de télé et une radio où elle pousse même la chansonnette. Cette francophone émérite a récemment lancé sur les ondes une "intéressante" reprise de "Ne me quitte pas". Interdite de séjour aux Etats-Unis où elle est condamnée pour garde illégale d'enfants (ceux issus de son mariage avec un Américain dont elle a divorcé en 2001), elle vient de se faire nommer ambassadeur de l'Ouzbékistan auprès de l'ONU et vice-ministre des affaires étrangères d'Ouzbékistan chargée des relations culturelles, juste histoire de pouvoir voyager tranquille...

Lola Karimova

Soeur cadette de la précédente, elle a un temps touché au business (quand on aime les boîtes de nuit, autant en être propriétaire) avant de se décider à soigner son image à travers l'association "Tu n'es pas seul" (sen yolgiz emassan) pour venir en aide aux enfants orphelins et démunis. Elle occupe également depuis le poste d'ambassadeur permanent de l'Ouzbékistan auprès de l'Unesco. Mais faut-il vraiment compter sur elle pour réparer le désastre que fut la restauration du Shah-i-Zinda et de ses environs à Samarkand ? Tout autant francophone que sa soeur aînée, elle multiplie en France les manifestations culturelles à grands frais pour promouvoir l'Ouzbékistan. Vous pourrez en apprendre plus en naviguant sur le site Internet : www.lolakarimova.com.

Abdulaziz Kamilov

Ministre des Affaires étrangères de l'Ouzbékistan depuis l'indépendance et conseiller particulier du président Karimov en matière de politique étrangère. Il est depuis 2003 ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire d'Ouzbékistan aux Etats-Unis. Il a longtemps été perçu comme le successeur potentiel d'Islam Karimov.

Islam Abduganievich Karimov

Originaire de Samarkand, où il est né en 1938, Islam Karimov a été nommé premier secrétaire du Parti communiste d'Ouzbékistan en 1989, puis président de la république soviétique socialiste d'Ouzbékistan l'année suivante. Elu président juste après l'indépendance de 1991, il prolonge son mandat par un plébiscite en 1995. Au terme de son mandat de cinq ans, il est à nouveau élu en 2000, sans que personne ne se soit présenté contre lui (le seul candidat adverse ayant annoncé qu'il voterait finalement pour Islam Karimov), et après que l'OSCE eut renoncé à envoyer des observateurs, jugeant la tenue d'élections libres impossible. Islam Karimov tente alors de se faire nommer président à vie, puis renonce face aux pressions internationales. En janvier 2002 néanmoins, un référendum porte la durée du mandat présidentiel à sept ans au lieu de cinq précédemment. Et en 2007, Islam Karimov décroche à la limite de la légalité constitutionnelle un nouveau mandat avec près de 90 % des sufrages...

Saparmirat Niyazov

L'ancien premier secrétaire du Parti Communiste a automatiquement pris le pouvoir après l'indépendance de son pays. Seul survivant de sa famille lors du tremblement de terre qui a rasé Achgabad en 1948, il se bâtit une véritable légende autour de ce miracle et développe un culte de la personnalité qui dépasse rapidement tout ce que le pays a pu connaître sous l'ère communiste. Dès 1993, il s'affuble du surnom de " Turkmenbachi ", ou " père des turkmènes ". Développant sa fortune personnelle grâce aux énormes revenus engendrés par les réserves de gaz de son sous-sol, il maintient parallèlement les turkmènes dans la pauvreté et le chômage. Le " père des turkmènes " a régné sans partage sur son peuple pendant 21 ans avant de décéder d'un arrêt cardiaque. Son successeur, Gourbangouly Berdymoukhamedov lui a succédé sans heurt et maintient sur le pays une poigne de fer. Mais la figure du Turkmenbachi demeure incontournable pour tous les visiteurs du Turkménistan : portraits, livres, statues, billets, photographies géantes : Saparmirat Niyazov est encore partout...

Mohamed Salih

Poète ouzbek fondateur et président du parti d'opposition Erk (liberté). Erk a été le premier parti d'opposition en Ouzbékistan, créé quelques mois avant l'indépendance. Mohamed Salih s'est présenté en 1991 face à Islam Karimov, mais son parti, ainsi que l'autre parti d'opposition, Birlik, ont été interdits deux ans plus tard, en bloc avec les opposants islamistes. Ce n'est que le 14 juin 2003 que ces deux partis ont pu se réunir librement à Tachkent, sans que le gouvernement ouzbek s'oppose à la tenue de cette réunion. Mohamed Salih est en exil depuis 1993 et, accusé d'avoir orchestré la tentative d'attentat contre Islam Karimov en 1999, risque la prison à vie s'il remet les pieds sur le sol natal. Ayant trouvé asile en Norvège, il est toujours membre très actif du parti qu'il a créé. De nombreuses informations sur son site Internet : www.uzbekistanerk.org.

Maxim Shatskikh

La star du football ouzbek. Âgé de 30 ans, il évolue en attaquant au Dynamo de Kiev depuis dix ans, club pour lequel il a inscrit pas moins de 62 buts en championnat. Avec son mètre 87 et ses 77 kg, ce joueur athlétique, offensif, rapide, et particulièrement capable d'être au bon moment sur le bon ballon a plus d'une fois sorti son équipe de mauvaises passes dans la coupe UEFA en trompant des gardiens aussi prestigieux et expérimentés que ceux du Real Madrid ou d'Arsenal. On dit même que, lorsque le n°16 est sélectionné, il finira toujours par inscrire un but. En sélection nationale, il est l'auteur de 47 buts en 82 rencontres, dont 11 marqués lors de matches éliminatoires pour la qualification en Coupe du Monde.

Omourbek Tekebaiev

L'actuel chef de file de l'opposition kirghize à travers le partu Ata Meken, qui se dit d'orientation socialiste. Il fut candidat d'opposition à Akaev en 1995 et en 2000, sans jamais parvenir à réunir pus de 15 % des votes. Ce qui n'est guère étonnant, compte tenu des conditions occultes dans lesquelles se déroulent les élections ! En tant que président du Parlement issu de la "révolution des tulipes", il reçut une certaine légitimité lorsqu'Akaev, exilé en Russie et refusant de reconnaître Bakiev comme président du Kirghizistan, désigna son ancien opposant comme seule figure d'autorité à l'intérieur du pays. Après l'élection de Kurmanbek Bakiev, Tekebaiev fut à l'origine des mouvements d'opposition en novembre 2006 qui permirent, pour un temps seulement, de réduire constitutionnellement les pouvoirs du président de la république. En 2008, aux États-Unis et en Europe, il dénonce avant tout le monde le durcissement à venir du pouvoir au Kirghizistan.

Ruslam Tiumenbaev

Encore un lutteur kirghize, qui exerce cette fois dans la catégorie poids légers (55-60 kg). Né en 1986, les JO de Pékin furent sa première grande compétition, où il s'est illustré non seulement en remportant la médaille de bronze, mais surtout en battant son homologue ouzbek Dilshod Aripov en quart de finale. En demi-finale, il s'incline face au lutteur azerbaïdjanais Vitaliy Rahimov, qui remportera la médaille d'argent.

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