Il y a plus d'un demi-siècle que le nom de Guy Cotten parcourt les mers du globe, foule les champs et se balade sur les sentiers côtiers. Ce spécialiste du ciré a su innover et expérimenter pour toujours plus de confort, de solidité, et de sécurité pour les professionnels et les amoureux de la mer, de l'agriculture et des loisirs. Ses produits sont testés en conditions réelles par les marins pêcheurs comme par les plus grands skippers.

Histoire. Depuis 50 ans, Guy Cotten promène ses produits sur les mers comme la terre. Tout commence à l'époque des cirés lourds, peu confortables et vraiment peu solides en coton enduit. A Concarneau, en bons observateurs, Guy Cotten et son épouse mettent au point des vêtements plus solides : la légèreté du tissu permet en effet de doubler les épaisseurs, voire de tripler les genoux. C'est la révolution dans les ports. Le gain de confort est reconnu et les vêtements durent trois fois plus longtemps. L'artisan se transforme en vendeur le soir, le samedi matin et prospecte de bateau en bateau dans les ports du sud Finistère.

Durant les années 1965-1970, les écoles de voile se créent et connaissent une véritable explosion. Il n'existe alors sur le marché que des vestes à boutons-pressions ou des vareuses qui s'enfilent par la tête. Guy Cotten crée alors la veste Rosbras.

En 1976, il lance la veste de NAV, une veste doublée, qui vient compléter la grande gamme des cirés (30 articles). Cette veste, au grand col fourré, a été expédiée par milliers dans tous les coins de France et d'Europe. Le gilet Skipper, une merveille de confort, a lui aussi laissé son empreinte.

La technique de l'HybridPro+ est la dernière innovation de la marque : la maîtrise de l'assemblage de deux tissus réputés " incompatibles " est une véritable prouesse technologique. C'est la première fois qu'un tissu respirant et un tissu PVC sont assemblés avec une étanchéité parfaite !

Le 15 juin 2019, une nouvelle usine est inaugurée à quelques centaines de mètres du site historique. Une volonté des dirigeants d'accroître les ventes à l'export. En effet, Guy Cotten qui progresse bien dans les pays d'Afrique depuis cinq ans, vise d'autres pays comme le Chili, l'Equateur ou le Pérou, pour l'aquaculture et la conchyliculture. Le nouvel espace de production a été pensé pour le bien-être des salariés et l'amélioration de leurs conditions de travail. Le bâtiment a ainsi été conçu pour faire entrer d'avantage de lumière naturelle et dispose d'un revêtement anti-bruit. Le projet s'inscrit également dans une démarche de développement durable avec 600 m² de panneaux photovoltaïques installés. Ce sont 5 millions d'euros qui ont été investis par l'entreprise qui réaffirme par là-même son attachement à Trégunc.

Les produits. Cirés et vêtements de mer pour les loisirs et activités nautiques de bord de mer : yachting, pêche, professionnels, régate à la voile, course...

Emploi. 35 % à 40% des ventes sont réalisées à l'exportation, principalement dans le secteur de la pêche. L'entreprise a dépassé les 15 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2018.

Le plus. Le magasin d'usine de Trégunc est ouvert toute l'année.

ÉGLISE SAINT-MARC

MEN DOGAN OU PIERRE DES MARIS TROMPÉS

OFFICE DE TOURISME

MAISON DU LITTORAL

GLÉNAN DÉCOUVERTE.

CAMPING LA POMMERAIE

LE CLOS DU MINAOUËT

CHRISTOPHE CARDON

CAMPING FLEURI

DOMAINE DE PENDRUC

CAMPING DES ETANGS DE TREVIGNON

GUY COTTEN

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GUY COTTEN TREGUNC

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